En programmation du Magazine radio In situ du 9 avril 2022 et en rediffusion le 6 aoùt 2022, pour souligner la 32e édition du Festival Présence Autochtone, un entretien avec l’artiste mutidisciplinaire montréalaise NIAP, relativement à son exposition Piqutiapiit, signifiant chose précieuse en inuktitut, en cours au Musée McCord jusqu’au 21 août 2022. NIAP est originaire de Kuujjuaq.
Une exposition spéciale qui a été réalisée dans le cadre du programme de résidence du Musée McCord, en collaboration avec le Conseil des Arts de Montréal et qui célèbre le savoir faire des femmes inuits, ainsi que le talent artistique des inuits. L’artiste est inspirée par les ornementations perlées des devants des vêtements féminins (savviqutik) et propose une interprétation contemporaine de cet objet traditionnel.
Vous pouvez écouter plus bas l’entretien avec l’artiste NIAP diffusé sur les ondes de Radio Centre-Ville. Elle nous présente son expérience de résidence, l’exposition proposée au public et brièvement son parcours artistique.
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !
Expo Piqutiapiit au Musée McCord jusqu’au 21 août 2022.
Vêtement savviqutik en vitrine qui a inspiré l’artiste NIAP.
Photo à gauche de femmes portant le savviqutik, au centre, l’artiste et a droite, l’oeuvre réalisée par l’artiste, dans le cadre de sa résidence et décrite dans l’entretien.
ENTREVUE AVEC L’ARTISTE NIAP DIFFUSÉE SUR LES ONDES DE RADIO CENTRE-VILLE 102,3 :
En programmation du Magazine radio In situ du 19 février 2022, un entretien avec Alicia Turgeon, à la direction générale du Centre de production et d’exposition en nouveaux médias, qui a repris récemment ses activités et dont on espérait la réouverture depuis les deux dernières années de pandémie.
Eastern Bloc qui oeuvre depuis 2007, a dû quitter le quartier Parc-Extension, aux prises avec le processus de gentrification, s’accompagnant de fortes augmentations de loyer, pour s’installer dans le secteur Chabanel du Quartier District Central. Cette nouvelle adresse a permis au centre de se rapprocher de la communauté artistique émergente, particulièrement supportée par Eastern Bloc.
Le nouvel emplacement aggrandi, à la fine pointe de la technologie et rénové par In Situ Architectural Studio et DIY d’Eastern Bloc, dans un esprit communautaire, propose une galerie ayant pignon sur rue, ainsi qu’un laboratoire, une salle d’ateliers, un espace collaboratif de travail (coworking) pour les artistes et les bureaux d’équipe d’Eastern Bloc, localisés au 4ème étage.
L’entretien avec Alicia Turgeon, rediffusé plus bas, est l’occasion de présenter le nouvel emplacement, le mandat du centre et ses nombreuses activités, en plus de faire un petit bilan, en ce début de nouvelle étape, qui commence à cette nouvelle adresse. En conclusion, une invitation est transmise à découvrir tant les nouveaux lieux, que l’exposition inaugurale Techno Mysticism jusqu’au 26 février 2022, qui s’inscrit dans la mission première de la ressource de soutenir les artistes émergents en portant un regard critique sur la technologie, l’art et la science. Un finissage aura lieu ce vendredi 25 février 2022 de 17h à 20h.
Une exposition vue et recommandée par In situ.
Le Centre Eastern Bloc est situé au 53 Louvain ouest (galerie) et au 55 Louvain ouest, 4e étage (laboratoire, salle d’ateliers, espace collaboratif de travail et bureaux).
Sculpture sonore de Marilou Lyonnais et Étienne Montenegro, Ghosts Echoes, faisant partie de l’expo en coursInstallation de Baron Lanteigne, Nature Morte 7, 2022, faisant partie de l’expo inaugurale en cours.
Alicia Turgeon, à la direction générale de Eastern Bloc et invitée au Magazine radio In situ
La Fondation Phi présente jusqu’au 9 janvier 2022, une exposition collective réunissant les cinq lauréats de la résidence inaugurale PHI Montréal, réalisée durant l’été 2021, autour d’une thématique inspirée de l’oeuvre de l’auteure de science-fiction Ursula K Le Guin et qui propose de réfléchir sur les conditions propices à rétablir des liens, après une période d’isolement social.
Le titre énigmatique de l’exposition …Et de la place dans le sac aux étoiles nous plonge dans l’univers de l’anthropologue Elizabeth Fisher, ayant inspirée Le Guin, qui considère que la survie de l’humain, tient davantage dans l’outil du sac de transport du grain et des fruits, que dans celui de l’arme de chasse. Cet angle permet de recadrer, pour ainsi voir l’histoire autrement et jeter un nouveau regard sur le futur.
À voir sur place, des installations multidisciplinaires de Dominique Sirois, intégrant des céramiques et des impressions d’images, autour de l’élément chimique du silicium; l’exploration par Santiago Tamayo Soler de l’univers des jeux vidéos, pour créer des mondes inédits, à travers la danse dans la communauté latine queer. Salima Punjami, quant à elle, nous invite à participer à une installation multisensorielle, réalisée avec 10 ménages montréalais et kimura Boyl-Nathalie Lemoine représente huit différents lieux de vie, en ayant recours à différentes graines et objets, disposés avec mesure dans l’espace.
La cinquième lauréate, Karen Trask, a été interviewée par le Magazine radio In situ, au sujet de l’oeuvre qu’elle expose, intitulée Ne tenir qu’à un fil et qui est un ravissement pour les yeux. L’artiste se démarque par sa pratique multidisciplinaire, exploratoire du langage et du papier. Elle a à son actif, tant au Québec, au Canada, qu’à l’international, plusieurs expositions d’installations, de livres d’artiste, vidéos, qui s’accompagnent de performances.
Détentrice d’une maîtrise en sculpture à l’Université Concordia obtenue en 1999, elle a participé à de nombreuses résidences au Québec, au Canada, en Europe, au Mexique et au Japon. Karen Trask est la conjointe de l’artiste Paul Litherland, avec qui elle a ouvert un espace projet locatif, nommé Produit rien, dans le secteur Alexandra-Marconi.
Vous pouvez écouter plus bas, l’entrevue avec l’artiste Karen Trask qui nous présente la sculpture qu’elle a réalisée, dans le cadre de la résidence PHI Montréal, le processus de réalisation de son oeuvre, avec la technique de filage de papier japonaise ( shifu ), son exploration plus élargie du papier et du langage, ainsi que son vécu, pendant sa résidence montréalaise. Cet entretien a été diffusé, dans le cadre de l’édition du Magazine radio In situ du 18 décembre 2021 et sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3.
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Une exposition collective jusqu’au 9 janvier 2022 à la Fondation Phi, localisée au 451, rue Saint-Jean, Montréal. L’exposition se terminera par une performance le 9 janvier 18h, sur place et en direct sur Facebook.
Karen Trask, photographiée à côté de son oeuvre titrée Ne tenir qu’à un fil, crée à partir d’exemplaires significatifs filés de l’encyclopédie Grolier et du Petit Larousse illustré, solifiés avec du sucre et de l’eau.
En programmation du Magazine radio In situ du 17 juillet 2021, une entrevue avec l’artiste multidisciplinaire Fanny Mesnard, domiciliée à Québec et détentrice de deux maîtrises à l’Université d’Aix-Marseille et à l’École supérieure des Beau-Arts de Marseille, en plus d’avoir à son actif 17 années de pratique artistique.
Inspirée par ses nombreuses déambulations en pleine nature et par son expérience de la danse et ses mystères, l’artiste en est venue à développer un univers fantasmagorique amplifié par la couleur, peuplé de créatures hybrides animées par des mythologies personnelles, qui baignent dans une ambiance carnavalesque, évoluant vers la danse intense et rituel.
L’exposition a la Maison des Arts de Laval nommée Ondes élastiques/Les faunes s’agitent encore dans l’épaisseur des bois, rend un vibrant hommage au pouvoir salutaire de déguisement pour renouer avec la nature et ne peut que séduire les petits et grands enfants.
Cet échange avec Fanny Mesnard, est suivi d’un entretien avec la commissaire de l’exposition Manon Tourigny.
Le public qui ne pourra se rendre à la Maison des Arts de Laval pour y voir l’exposition qui se termine bientôt, pourra découvrir un échantillon d’oeuvres de la famille des faunidoles de Fanny Mesnard crées en résidence à la Maison de la Culture Notre-Dame-De-Grâce jusqu’au 5 septembre 2021. On peut apprécier sur place, des mises en scène miniatures, des créatures de dimension plutôt imposante et des tableaux au mur des plus évocateurs (encres et acrylique sur papier velin) !
Pour en savoir plus, vous pouvez écouter plus bas les deux entretiens diffusés sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3
Et pour votre information, cette exposition se termine dimanche 25 juillet 2021 par un FINISSAGE, en présence de l’artiste et de la commissaire. La maison des arts de Laval est localisée au 1395 boul. de la Concorde ouest.
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PHOTO : L’artiste Fanny Mesnard et la commissaire Manon Tourigny, devant une oeuvre centrale de l’exposition à la Maison des Arts de Laval jusqu’au 24 juillet 2021;
Le mercredi 10 février, le magazine Radio In Situ a rencontré, le temps d’une entrevue par téléphone, le collectif montréalais Aussenwelt. Créé en décembre 2018, il rassemble une trentaine d’artistes émergents qui pratiquent des disciplines variées, de la peinture à l’installation en passant par la création mode et la musique.
Ce groupe, dont le nom signifie «monde extérieur» en allemand, cherche à être un tremplin pour ces artistes, en assurant la promotion des œuvres et l’organisation d’événements. Ces derniers peuvent prendre la forme d’expositions, de pop-up ou de résidences, dont une se tient en ce moment avec l’artiste Mephisto à Deneb sur la rue Duluth. Le groupe propose aussi des studios pour ses artistes, pour la création et la promotion de leur travail.
Vous pouvez retrouver ici notre entrevue avec Morgan Buchoux, le fondateur et directeur artistique d’Aussenwelt.
Deux adresses qui localisent ce collectif Aussenwelt à Montréal :
-Les studios des artistes du collectif : 4372 Papineau ;
-La deuxième résidence artistique du collectif (celle de Mephisto) a lieu dans un espace vitré, qui permet d’observer le travail de l’artiste, au 22 rue Duluth est.
Texte : Lila Maître
Une des oeuvres de l’artiste en résidence Mephisto (photo du collectif)
Un des événements organisés par le collectif en septembre 2020 : Expo Adventice/L’art à l’air libre au Parc Maisonneuve, à Montréal (photo Lila Maître)
Morgan Buchoux, représentant du collectif et interviewé par In situ (photo web)
Entrevue de Lila Maître, de l’équipe In situ avec Morgan Buchoux, le représentant du collectif :
En programmation de l’édition du 27 novembre 2020 du Magazine radio In situ, une triple exposition percutante à L’Arsenal, réunissant trois artistes, ayant réalisé chacun une résidence et trois commissaires.
Il s’agit de Jean-François Bouchard et son exposition In Guns We Trust(commissaire : Douglas Coupland), prolongée jusqu’au 6 janvier 2020, de l’exposition Migrations de Mat Chivers, interviewé par In situ(commissaires : Jean-François Belisle et Anne-Marie St-Jean Aubre du Musée d’Art de Joliette), extensionnée jusqu’en mars 2020 et de l’exposition Kali Yuga de Tasman Richardson (date de prolongation à venir), commissariée par Shauna Jean Doherty et organisée par le directeur artistique David Liss.
Jean-François Bouchard a fait une plongée dans l’univers d’une communauté marginale qui voue un culte aux armes à feu et propose des images suréelles et de facture cinématographique. Tasman Richardson invite le public à pénétrer dans une installation immersive et multimédia qui suscite un questionnement sur l’impact du paradoxe technologique sur nos vies, jouant par exemple sur deux front : l’expérience privée et publique. Mat Chivers propose une démarche multidisciplinaire qui explore les rapports entre le développement humain et la technologie. La pratique de l’artiste se caractérise par un travail en équipe, incluant des spécialistes dans le domaine de la science, la technologie et le milieu universitaire. Cette exposition s’avère être l’aboutissement d’une résidence estivale de l’artiste Mat Chivers à Arsenal Art Contemporain en 2019.
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et écoutez plus bas l’entrevue de l’artiste Mat Chivers, ainsi que le compte rendu du chroniqueur Pierre Archambault, de l’équipe In situ.
UNE FORTE RECOMMANDATION DE IN SITU !
Expo de Jean-François Bouchard, In Guns We Trust à L’Arsenal jusqu’au 6 janvier 2020.
Expo de Jean-François Bouchard, In Guns We Trust à L’Arsenal jusqu’au 6 janvier 2020.
Expo de Jean-François Bouchard, In Guns We Trust à L’Arsenal jusqu’au 6 janvier 2020.
Expo de Jean-François Bouchard, In Guns We Trust à L’Arsenal jusqu’au 6 janvier 2020.
Une des oeuvres de l’installation de Tasman Richardson, titrée Kali Yuga et commentée par Pierre Archambault à la radio.
Expo de Mat Chivers à L’Arsenal jusqu’en mars 2020.
Expo de Mat Chivers(photographié ci-haut) à L’Arsenal jusqu’en mars 2020. Ci-haut, Dyptique, Where do I end andyou begin, 2019, charbon sur papier.
Autre image du vidéo
Vernissage le 17 septembre 2019 à L’Arsenal.
Oeuvre de Mat Chivers, réalisée en duo avec l’artiste Cansu Canca, commentée dans le cadre de l’entrevue rediffusée dans cet article et faisant partie de l’expo Les nouveaux étâts d’être prolongée jusqu’au 11 janvier 2020 au Centre d’expo de l’Université de Montréal.
Textes accompagnant l’oeuvre intitulée Un nouvel ordre mondial : Quelle est l’importance d’une IA éthique ?
Image d’une expo supplémentaire commentée par Pierre Archambault, celle de Amalia Ulman
Entrevue avec l’artiste Matt Chivers (traduction simultanée : Robert Locas)
Compte rendu de l’expo de trois artistes de Pierre Archambault à L’Arsenal :
En programmation du Magazine radio In situ du 31 juillet 2019, une entrevue du chroniqueur Pierre Archambault avec l’artiste visuelle multidisciplinaire Hannah Claus, de descendance mohawk et britannique.
Celle-ci est rencontrée à l’occasion d’une exposition titrée C’est pas pour rien qu’on s’est rencontrés, dans le cadre d’une résidence d’artiste proposée par le Musée McCord, qui invite chaque année un artiste à explorer sa riche collection et la mettre en relation avec sa propre pratique et vision artistique.
Hannah Claus a choisi des oeuvres de la collection Culture autochtones et Archives textuelles pour réaliser des oeuvres incarnant la thématique de la relationalité, au coeur des cultures autochtones.
L’artiste s’intéresse particulièrement aux rencontres et échanges invisibles, pourtant parties intégrantes de nos histoires et celles des objets. Elle est particulièrement inspirée par les thématiques de la mémoire, du temps, de l’espace et de la transformation, à travers l’accumulation et la répétition, particulièrement mises de l’avant dans ses installations suspendues et à grand déploiement, qui sollicitent les sens.
Pour en savoir plus, voir l’album photos, dont plusieurs ont été commentées à la radio par l’artiste et vous pouvez écouter plus bas, l’entrevue avec Hannah Claus diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !
L’exposition se poursuit jusqu’au 11 août 2019.
L’artiste Hannah Claus photographiée dans le cadre de son expo au Musée McCord.
Réflexion sur le temps et l’espace à travers la production matérielle, tirages numériques, 2019.
Sac Tonawanda Seneca puisé dans la collection McCord, daté de 1830-1850.
L’artiste photographiée lors de son entrevue à Radio Centre-Ville.
Le Magazine radio In situ du 28 novembre 2018 fait place à une entrevue avec l’artiste émergente d’origine irano-canadienne Naghmed Sharifi, qui expose l’aboutissement d’une résidence Empreintes du Musée des Beaux-Arts de Montréal, réalisée dans le quartier Roms de la capitale de Macédoine (Skopje). Elle a obtenu récemment une maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia.
En plus de nous présenter la résidence accomplie et son exposition au Mai, l’artiste nous transmet toute son inspiration pour la thématique du corps qu’elle perçoit comme un territoire habité et qu’elle place dans une multitude de lieux visités où elle a parfois habité, s’interrogeant ainsi sur l’identité éphémère et la psychologie du corps.
Naghmed Sharifi a réuni au Mai une série de dessins à l’encre sur papier réalisés dans le respect de la communauté Roms de Skopje, ainsi que des éléments architecturaux, faisant partie d’une exposition qui propose un parcours déambulatoire.
Une exposition titrée To live as an organ within oneself et UNE RECOMMANDATION DE IN SITU !
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.
En programmation du Magazine radio In situ du 24 octobre 2018, une entrevue avec Noémi Da Silva, photographe et co-directrice de L’Imprimerie Centre d’Artistes et avec Jocelyne Thibault, membre du Conseil d’Administration de l’organisme. Deux personnes clés qui nous présentent cette ressource pilier du milieu arts visuels, ainsi que les événements en cours et à venir, organisés par L’Imprimerie ou en collaboration avec le centre d’artistes .
L’Imprimerie Centre d’artistes est née de l’union du réputé Atelier Graff qui a marqué l’histoire dans le domaine de l’imprimé et de l’organisme Le Cabinet, crée dans un passé encore récent et dédié à la production photographique. Cette nouvelle entité s’est par la suite établie dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal et offre depuis à ses membres artistes et créateurs de tous les milieux, des espaces de travail, des ressources et des expertises spécialisées en impression numérique, sérigraphie, lithographie sur plaque, gravure en creux et en relief, selon une approche personnalisée qui stimule le développement professionnel. À ceci, s’ajoute un volet formation d’importance de groupe, personnalisée ou offerte au public.
L’Imprimerie Centre d’artistes organise aussi des événements rassembleurs dans le cadre de son volet création, des résidences de recherche-création dans un petit lieu de diffusion en vitrine (L’Écrin), des projets sur mesure, un chantier de recherche sur l’image imprimée et photographique en cours à la Maison de la Culture Maisonneuve depuis le printemps 2018 (finissage le 28 novembre prochain) et un prix de la relève en photographie décerné annuellement (accordé cette année à Janie Julien-Fort).
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3. L’Imprimerie Centre d’Artistes est située au , 3910 St Catherine est, à Montréal.
Lancement du projet Travaux pratiques d’André-Anne Dupuis-Bourret dans L’Écrin et potluck, ayant eu lieu à L’Imprimerie/Centre d’artistes le 22 août 2018..
Andrée-Anne Dupuis Bourret présentant son projet.
Vue de L’Écrin en vitrine qui était alors occupée par Andrée-Anne Dupuis Bourret
Potluck lors de chaque événement spécial.
Visite des lieux lors du lancement
Guide : Noémie Da Silva elle-même!
Lancement du projet de Stéphane Gilot et de Caroline Boileau dans L’Écrin, en lien avec le chantier de recherche sur l’image imprimée et photographique débuté il y a plusieurs mois. Présentation par chaque artiste du chantier de l’évolution de leur projet le 24 octobre 2018. Il s’agit des artistes Gwenaël Bélanger, Mathilde Forest, Mathieu Grenier, Céline Huyghebaert, Janie Julien-Fort, Camille Lamy, Stéphanie Nuckle, Eliza Olkinitskaya et Étienne Tremblay-Tardif.
Stéphane Gilot et Caroline Boileau, commissaires du chantier de recherche sur l’image imprimée et photographique. Ils présentent à la Maison de la Culture Maisonneuve une mise en espace de différents éléments sur une table-territoire.
Oeuvre associée au Chantier de recherche sur l’image imprimée et photographique.
Janie Julien Fort, prix de la relève en photographie de Montréal 2018, accompagnée de son deuxième charmant enfant. Elle a présenté une exposition à Occurence jusqu’au 10 novembre 2018, dont les photographies ont été réalisées à L’Imprimerie, centre d’artistes et a été supervisée par Yann Procreau. L’artiste représentée par la Galerie La Castiglione, s’intéresse aux spécificité propres à la matière photosensible.
Présentation spéciale des photos dans des boitiers à Occurence.
Noémi Da Silva, photographe et co-directrice de L’Imprimerie Centre d’Artistes (à droite) et Jocelyne Thibault, membre du Conseil d’Administration de l’organisme, interviewées par In situ.
En programmation du Magazine radio In situ du 10 octobre 2018, une entrevue de fond du chroniqueur Pierre Archambault de l’équipe In situ, avec l’artiste et enseignant Simon Bertrand, représenté par la Galerie René Blouin, qui présente l’aboutissement d’une résidence estivale d’artiste réalisée à la Galerie B-312. Une exposition spéciale réunissant huit oeuvres et titrée Atlas : Constellation II à la Galerie B-312, dans l’édifice Belgo jusqu’au 13 octobre 2018.
In situ fait donc place à la rigoureuse démarche de Simon Bertrand à la Galerie B-312, qui fait suite à l’expo Atlas présentée à la Galerie René Blouin en 2017. À ce travail acharné et intériorisé de l’artiste correspond la vaste sphère céleste ou l’ampleur de textes fondateurs de la littérature. Un artiste ambitieux qui réunit un temps par la voie de la transcription et du recours aux codes, ces deux dimensions que sont le macro et le micro, à la base de l’expérience humaine.
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3. UNE RECOMMANDATION DE IN SITU!