Au programme du Magazine radio In situ du 15 octobre 2022 et en rediffusion partielle le 11 février 2023, une entrevue avec Vincent Bessières, un des trois commissaires de l’exposition spéciale À plein volume/Basquiat et la Musique et dont l’expertise en musique est reconnue.
Une exposition qui présente une centaine d’oeuvres (peintures, dessins, collages), en plus de divers documents (cahiers de notes, collection de vinyles, archives vidéo), faisant la démonstration de toute l’importance de la musique pour l’icône Basquiat, mélomane, passionné de jazz, qui possédait une collection de plus de 3000 albums et qui écoutait presque continuellement de la musique en créant, en plus d’avoir co-fondé le groupe Experiment Gray.
Vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec Vincent Bessières, au sujet de cette exposition imprégnée de musique, de poésie et des préoccupations politiques de l’artiste.
L’exposition À plein volume/Basquiat et la Musique au Musée des Beaux-Arts de Montréal jusqu’au 19 février 2023.
Une section de l’expo au MBAM, commentée en entrevue par le co-commissaire.
ENTREVUE AVEC VINCENT BESSIÈRES, CO-COMMISSAIRE DE L’EXPO À PLEIN VOLUME/ BASQUIAT ET LA MUSIQUE.
La Maison de la Culture Plateau Mont-Royal présente jusqu’au 5 décembre 2021, l’exposition d’un trio d’artistes et amis de longue date titrée Chemins croisés, qui réunit Pierre Blanchette, Suzanne Dubuc et Suzelle Levasseur.
Ensemble, ils ont réalisé dans leur jeunesse, une excursion en montagne dans les Rocheuses, véritable périple initiatique en pleine nature, qui les a marqués et inspirés . Cette exposition est l’occasion de renouer avec cette expérience vivifiante et d’établir un dialogue entre leurs oeuvres respectives imprégnées de nature.
Le Magazine radio In situ est allé à la rencontre d’une artiste du trio Suzelle Levasseur pour lui poser quelques questions sur la genèse et l’intention du projet, les trois séries d’oeuvres exposées et l’approche de chacun des artistes, les médiums utilisés dans le cas de Suzelle Levasseur et le parcours artistique de cette dernière, qui a travaillé dans le réseau des maisons de la culture et qui détient le statut d’experte régionale en arts visuels, dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement.
L’entrevue qu’on peut écouter plus bas a été diffusée dans le cadre de l’édition du Magazine radio In situ du 27 novembre 2021, sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3
PHOTO : Pierre Blanchette, qui fait partie du trio d’artistes exposant à la Maison de la Culture Plateau Mont-Royal
Suzelle Levasseur, du trio d’artistes, interviewée par le Magazine radio In situ
L’artiste Jean-Michel Cropsal, d’origine arménienne, a vécu son enfance au Maroc, où il séjourne trois mois par année depuis 2006. En France, il étudie et travaille, dans le domaine du costume et du décor de théâtre, avant d’émigrer au Québec.
Sa pratique artistique est diversifiée et explore la peinture, le dessin, la gravure, le collage et la sculpture, tout en puisant dans ses différentes influences culturelles et son vécu familial. Il expose depuis une vingtaine d’années et ses oeuvres font partie de différentes collections publiques et privées, au Canada, en France et au Maroc.
Présentement, il expose des estampes et collages fort inspirées, notamment de l’univers de la calligraphie moyen-orientale, à l’Atelier-Galerie Alain Piroir jusqu’au 27 novembre 2021.
Pour en savoir plus, vous pouvez écouter plus bas, l’entrevue avec l’artiste, diffusée dans le cadre de l’édition du Magazine radio In situ du 20 novembre 2021, sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3.
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !
L’artiste Jean-Michel Cropsal, interviewé par le Magazine radio In situ
En programmation du Magazine radio In situ du 8 janvier 2020, une chronique de Pierre Archambault qui suggère la visite d’expositions d’intérêt débutées en 2019 et qui se terminent en janvier 2020. Entre autres suggestions d’expositions à voir, celle de Giorgia Volpe titrée L’ordinaire insoupçonnable à la Maison de la Culture Janine Sutto jusqu’au 12 janvier 2020.
Une artiste multidisciplinaire au parcours international et établie à Québec, qui puise son inspiration dans le monde domestique et la vie quotidienne. Elle intègre à sa pratique le tissage, le collage, le métissage, l’installation, la vidéo et la réutilisation d’objets trouvés, récupérés ou réinterprétés, à travers différents assemblages ou manipulations matérielles et symboliques.
Axée sur le rapport à l’autre, à l’objet et à l’environnement immédiat qui devient tissu social, elle s’intéresse particulièrement à l’agissement du temps et à la transmission des savoir-faire. Giorgia Volpe conçoit en fait la création comme un événement vivant en soi ou une expérience en cours.
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter la présentation du chroniqueur plus bas, qui commente chacune des oeuvres.
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO !
Girgia Volpe photographiée à la Maison de la Culture Janine Sutto
Le Magazine radio In situ du 10 juillet 2019 diffuse une entrevue avec l’artiste et commissaire Virginie Maltais et avec l’artiste Jérôme Bertrand, à l’occasion d’une exposition chez Marc Gosselin titrée Retailles, d’un regroupement de 10 artistes d’ici passionnés de collage, réunis par Virginie Maltais, qui a fondé récemment un organisme nommé Collage Québec.
Cette première exposition de Collage Québec qui se démarque par sa qualité, inclut aussi un volet d’art postal d’importance, rassemblant 60 artistes locaux et internationaux, qui ont crée des oeuvres respectant la consigne du noir et blanc.
L’entrevue est aussi l’occasion d’échanger sur l’intérêt croissant pour le collage et l’art postal, observé actuellement tant chez les artistes, le public, que dans le réseautage très actif sur le web, à l’échelle locale et internationale. Virginie Maltais et Jérôme Bertrand nous présentent aussi leur parcours artistique respectif.
Pour en savoir plus, voir la sélection des oeuvres de In situ dans l’album photo qui suit, réalisé en pleine séance d’accrochage et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.
L’Atelier-Galerie Marc Gosselin est situé au 3880 Ste-Catherine est.
UNE EXPOSITION RECOMMANDÉE PAR IN SITU, QUI SE POURSUIT JUSQU’AU 14 JUILLET 2019.
Oeuvre de Virginie Maltais présentée à la radio
Deux oeuvres d’une série réalisée par Jérôme Bertrand et commentée à la radio.
Jean-Marie Moncelet
Lucie Bosquin
Marc Gosselin en pleine séance d’accrochage
Collage réalisé par la mère de Jérôme Bertrand
Virginie Maltais et Jérôme Bertrand interviewés par In situ.
Le Magazine radio In situ du 20 décembre 2019 fait la recommandation d’une exposition collective d’art contemporain rassembleuse titrée Peintures perspicaces à la Galerie Erga jusqu’au 24 février 2019 et a invité deux participants à l’exposition : l’artiste et galeriste du lieu de diffusion Erga, Demetrios Papakostas, ainsi que Érik Nieminem, artiste qui a remporté récemment un prix Bombay Saphire.
Une occasion d’échanger sur l’exposition en cours qui fait place à la peinture, dont le commissaire est Jason McKechnie, aussi artiste-peintre, ainsi que sur la démarche respective des deux artistes invités. Demetrios Papakostas présente de plus les particularités et les attraits de sa galerie locative, attenante à son atelier et située dans la Petite-Italie.
Mentionnons que le titre et le carton d’invitation de cette exposition fait référence au fameux film de Luchino Visconti, intitulé Conversation Piece(en anglais), Violence et passion(en français) Gruppo di famiglia in un interno(en italien). Le commissaire puise ses sources d’inspiration dans le cinéma, les tableaux de genre du 18e siècle et dans des réflexions à caractère psychologique, culturel, social ou politique. Au coeur de sa démarche, la communication, qui devient un espace d’échange sur des points de vue multiples.
L’exposition s’avère réjouissante, de par la qualité des oeuvres et le regroupement surprenant d’artistes en art contemporain de différentes générations et de différentes communautés (francophones et anglophones), qui co-habitent harmonieusement dans le cadre de cette exposition spéciale.
Pour en savoir plus, voir la sélection d’oeuvres de In situ dans l’album photos, la liste des 17 artistes participants sur le carton d’invitation et vous pouvez écouter plus bas, l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.
FINISSAGE DE L’EXPOSITION CE DIMANCHE 24 FÉVRIER DE 16H À 19H.
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !
LA GALERIE ERGA EST SITUÉE AU 6394 BOUL. SAINT-LAURENT, MONTRÉAL !
Vernissage bondé le vendredi 8 février 2019
À gauche le commissaire Jason McKechnie et l’artiste galeriste André Laroche qui présente pour une rare fois une de ses oeuvres (Warped equilibrium, 2003/2004, huile, pigments, cire sur toile.
En haut : Steven Orner, My martian cousin, 2016, huile sur toile, 300 $. En bas : Jason McKechnie, After the Master of the Orcagnesque Misericordia, huile, plâtre, métaux, feuille d’or sur panneau.
T J Ahern, série de collages coupés à la main sur des pochettes vintage avec le disque original, 880 $ chacun.
Coup de coeur pour l’oeuvre de Sarah Bertrand-Hamel, Tu es en chemise, 2014, encore et gouache sur papier fait main, 2000 $.
Gianni Giuliano, Icarus/Rise of the sea, 2009, huile et émulsion d’oeufs sur toile de lin, 1550 $.
Jason McKechnie, 2008, The Doubting Thomas of the Compound Fractures, huile sur toile, 1400 $.
À droite : Erik Nieminen, Dream, huile,sable et sciure de bois sur lin, 6500 $.
Demetrios Papakostas, Three Blak Bars, 2018, huile sur toile, 850 $.
Carton d’invitation
Les deux invités du Magazine radio In situ : Erik Nieminen à gauche et Demetrios Papakostas, à droite.
En programmation du Magazine radio In situ du 9 janvier 2019, une entrevue de fond avec l’artiste visuel Jean-Sébastien Denis, représenté par la Galerie Simon Blais, à l’occasion d’une exposition bilan de ses oeuvres, titrée Abstraction et présentée par la Maison de la Culture Claude Léveillé jusqu’au 13 janvier 2019.
Jean-Sébastien convie le public à faire une immersion dans plusieurs séries d’oeuvres de 2002 à 2018 (Tempête, Machination, Imbrication), proposant un univers abstrait, imprégné de mouvement, voire en transformation, dans le cadre d’une exposition d’ampleur déployée à la Maison de la Culture Claude Léveillé.
Jean-Sébastien Denis partage ses réflexions au sujet des caractéristiques de sa peinture, de ses sources d’inspirations, ses fantaisies, de son processus créatif, de ses explorations artistiques, de son volet actuel art public, ses projets à venir et bien d’autres aspects.
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter l’entrevue diffusée à Radio Centre-ville 102,3, en cliquant le lien plus bas.
UNE FORTE RECOMMANDATION DE IN SITU !
À NOTER, QUE L’ARTISTE SERA PRÉSENT À LA MAISON DE LA CULTURE CLAUDE LÉVÉILLÉ, CE DIMANCHE JOUR DE CLÔTURE DE L’EXPOSITION !
Intrication 15-05, technique mixte sur toile, Galerie Simon Blais, 2015.
Série Tempête 3,2,1, Galerie Simon Blais, 2011.
Série Imbrication, 2017
PHOTO : Jean-Sébastien Denis et deux de ses oeuvres exposées à la Maison de la Culture Claude Léveillé. Entrevue avec cet artiste diffusée aujourd’hui au Magazine radio In situ;
Photo prise par Le Devoir, installatoin In situ titrée Extensions, décalages et propos ambigus sur la plasticité présentée à la Galerie Simon Blais en automne 2017.
Photo internet, oeuvre d’art public Ascension, conçue pour le pavillon de l’Université du Québec en Outaouais à St-Jérôme, dans le cadre du programme des arts/architecture du Ministère de la Culture et des Communications du Québec.
Photo internet, oeuvre d’art public Prismes au Centre universitaire de santé McGill à Montréal.
Le Magazine radio In situ fait place à une entrevue avec l’artiste et mannequin Virginie Maltais, qui explore intensément la technique du collage depuis 2012 et qui nous présente actuellement une série de paysages oniriques imprégnés de mouvement et intégrant des images de magazine de mode. Une passion des collages et leur langage propre qui l’habite depuis l’enfance.
L’artiste s’adonne à des collages transformés par des médiums mixtes (aquarelle, acrylique, encre) et tente de repousser ses limites personnelles et celles des matériaux utilisés. Elle se dit donc très souvent surprise par l’oeuvre finale. Le fait de pouvoir exposer dans le cadre d’un solo et d’avoir l’espace pour présenter des collages de format moyen a eu un effet libérateur sur l’artiste et son évolution artistique. Virgine Maltais a de plus écrit un texte qui a été sélectionné par la revue Kolaj.
À découvrir aussi sur place la Galerie d’art événementielle Koke dans la magnifique ville de Rosemère, lieu géré par des graphistes publicitaires. Une galerie qui a fait le choix d’offrir un solo aux artistes, plutôt que d’opter pour des expositions collectives. Toutefois, les heures d’ouverture sont restreintes et la galerie est situé dans une ville en développement au plan artistique.
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec l’artiste diffusée par Radio Centre-ville 102,3.
L’artiste Virginie Maltais
Courant électrique, collage et médiums mixtes, 675 $
À ton jeu, je ne veux pas jouer, collage et médiums mixtes, 675 $.
Fonte et retenue, collages et médiums mixtes, 675 $
Jardin intergalaxique d’abandons et de quêtes, collage et médiums mixtes, 675 $
Lave et lueur d’espoir, collage et médiums mixtes, 675 $
L’article rédigé par Virginie Maltais sur sa démarche artistique a été retenu.
Vernissage à la Galerie Koke le 8 août 2018.
Virginie Maltais au centre, accompagné de Stéphane Martin, à la direction de la Galerie Koke et de son assistante.
Virginie Maltais et son œuvre Amour électrique, techniques mixtes sur bois, 2018, à peine 185 $. Oeuvre présentée lors de l’expo collective On board présentée à la Galerie Marc Gosselin.
En programmation du Magazine radio In situ du 20 juin 2018, une entrevue avec Suzanne Lafrance qui expose en duo avec Yannick De Serre, deux artistes qui présentent des oeuvres sur papier et réunis dans le cadre d’une exposition titrée Tracer le bois à la Galerie Bernard jusqu’au 23 juin 2018. Yannick De Serre est représenté par la Galerie Bernard.
Après un temps d’arrêt, Suzanne Lafrance fait un retour en force en galerie, à titre d’artiste invitée, avec ses enfants énigmatiques au visage effrayé et sans mots. L’entretien avec cette artiste nous permet de faire une plongée dans l’univers de cette artiste, qui demeure fascinée par la pensée, soumise aux aléas des événements le plus souvent salutaires et par les stades de la pensée. Une inspiration qui découle de ses études marquantes en philosophie et en anthropologie.
À voir en galerie des dessins au fusain et collages sur papier, ainsi que trois séries de dessins représentant la pensée au passé, présent et futur, à travers la figure de l’enfant. L’illusion du bois chez Suzanne Lafrance, devient métaphore du corps vivant, à la fois vulnérable et résilient, telle une chair-écorce.
Pour en savoir plus, voir l’album qui suit et vous pouvez écouter l’entrevue plus bas diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.
Suzanne Lafrance et trois de ses oeuvres : Petit bloc 5(visage sur fond noir), techniques mixtes sur papier, 2018, 750 $ + txs + Devenir-lapin 2, fusain sur papier, 2018, 825 $ + txs + Petit bloc 10(visage), 2018, techniques mixtes sur papier, 750 $ + txs.
À gauche, deux oeuvres de Suzanne Lafrance et à droite, une oeuvre réalisée en duo avec Yannick De Serre, Faire feu de tout bois no 2, 2017, oeuvre évolutive, monotype sur papier sans acide, toile et fils, 1600 $ + txs
L’émission du Magazine radio In situ du 31 janvier 2018 a été consacrée à l’exposition rétrospective titrée Regards croisés sur une oeuvre inachevée, celle de la maître graveure et artiste multidisciplinaire Jeanine Leroux Guillaume et qui a été présentée au Centre d’art Diane Dufresne à Repentigny du 24 janvier au 18 mars 2018. Une exposition inaugurée peu avant le décès de l’artiste le 30 janvier 2018.
Une exposition qui a permis d’avoir un aperçu de l’ampleur du travail réalisé par cette artiste multidisciplinaire et enseignante durant 75 ans, assistée de son conjoint artisan imprimeur Pierre Guillaume. Une artiste éprise de nature, littérature et poésie.
Rappelons que Janine Leroux Guiillaune a côtoyé des figures marquantes de la scène artistique, tels que les signataires du manifeste du Refus global et les piliers de la littérature et de la poésie : Gaston Miron, Jacques Brault et Gilbert Langevin.Elle a fait aussi partie des rares artistes canadiens invités par le célèbre atelier Lacourière-Frélaut à Paris, où elle a créé et imprimé plusieurs oeuvres, de 1959 à 2000. Ses oeuvres font partie des collections publiques et privées, dont le MNBAQ, le MACM et le MBAM, les collections SNC Lavalin et Loto-Québec. Son nom est dans le dictionnaire Larousse des noms propres.
Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et qui donne un bon aperçu de l’ensemble de l’exposition (comme si vous vous étiez rendus au Centre d’art Diane Dufresne). Vous pouvez aussi écouter le compte rendu et la critique de l’exposition diffusés au Magazine radio In situ, avec la participation du chroniqueur Pierre Archambault.
Janine Leroux Guillaume jeune.
Travaux exécutés à l’École des Beaux-Arts de Montréal de 1950 à 1954. Esquisses à la gouache pour des décors. Collection privée.
Le couple Janine Leroux et Pierre Guillaume en compagnie du cinéaste Pierre Perreault – Noir et blanc.
Monique Guillaume, Entre chien et loup, 1978. poème de Pierre Guillaume, bois gravé, collection privée.
Oeuvres de Janine Leroux Guillaume. Haut : La main des saisons, 1963-1965, 1800 $ sans cadre et bas, La mare aux élans, épreuve eau forte sur cuivre. collection privée.
Janine Lerouc Guillaume, La chasse-galerie, 1964, Bois de fil en noir,collection privée.
Janine Lerouc, La vierge au rocher, 1960, avec un essai en noir et un autre en couleurs, bois debout en bleu, 25 $ chaque carte
Janine Leroux Guillaume, Le fol amour, 1993, collage mixte, 1300 $ avec cadre.
Janine Leroux Guillaume, Les amants de l’au-delà, 1982, eau-forte, aquatinte et vernis mou, en couleurs 2000 $ sans cadre.
Pierre Guillaume présentant cette section au public intéressé lors du vernissage.
Janine Leroux Guillaume, La croule du printemps, 2008-2010, manière noire, berceau et burin, dernière gravure réalisée par l’artiste.
Discours lors du vernissage
commissaire de l’expo Nathalie Valade,faisant partie de la parenté.
Pierre Guillaume, conjoint de l’artiste.
Photo en duo de la commissaire Nathalie Valade devant l’oeuvre de Janine Leroux Guillaume, intitulée Le swell de la mer, 1960, huile sur toile, collection privée. Et photo de Pierre Guillaume devant une oeuvre de Janine Leroux Guillaume, Foraine, 1963, huile sur toile, collection privée.
Photo lors du vernissage, prise devant l’oeuvre Le couronnement de la vierge réalisée par Janinre Leroux Guillaume en 1954-56. Ouvrage préparatoire à la gouache pour une mosaique et certaines études et croquis. Collection privée.