Archives pour la catégorie art textile

ALBUM SOUVENIR/UNE RÉSIDENCE FRUCTUEUSE RÉALISÉE PAR L’ARTISTE ÉMERGENTE ELISABETH PERRAULT.

En programmation de l’édition du Magazine radio In situ du 4 mars 2023, un entrevue avec l’artiste émergente Elisabeth Perrault, au sujet de son exposition d’ampleur titrée Danser avec son fantôme, qui a été présentée par la Galerie Pangée jusqu’au 11 mars 2023.

Une installation in situ d’ampleur et percutante qui a été réalisée en bonne partie durant une résidence de l’artiste à la Galerie Pangée. Cette entrevue est rediffusée à l’approche de la foire PLURAL du 21 au 23 avril 2023, qui présentera une exposition au pavillon, à laquelle participera Elisabeth Perrault pour la Galerie Pangée.

Détentrice d’un baccalauréat de l’Université de Concordia obtenu en 2020, Elisabeth Perrault s’adonne à l’art textile, à travers des installations sculpturales. Elle a déjà à son actif, des expositions à Vancouver, en Italie, en plus d’avoir collaboré avec l’artiste vedette Patrick Watson pour son dernier vidéoclip.

Vous pouvez écouter plus bas un entretien avec l’artiste diffusé sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3. L’artiste nous informe sur les raisons de son choix de créer avec le textile, sur ses sources d’inspiration, en particulier le cycle de la vie et de la mort, sur le déroulement de sa résidence à la Galerie Pangée et elle nous décrit de plus son installation, inspirée de la Vénus anatomique.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

L’artiste émergente Elisabeth Perrault, interviewée par le Magazine radio In situ

ENTREVUE AVEC ELISABETH PERRAULT :

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JUSQU’AU 25 MARS 2023 À LA GALERIE MC CLURE : UN RETOUR AUX SOURCES, PROPOSÉ PAR KAMA LA MACKEREL!

En programmation du Magazine radio In situ du 11 mars 2023, une entrevue avec l’artiste multidisciplinaire Kama La Mackerel, qui s’adonne à l’écriture, l’art visuel, la performance, la méditation, la contemplation, en plus de s’impliquer dans l’éducation et la traduction littéraire.

En 2021, le prix Joseph S-Stauffer, qui s’adresse aux artistes émergents, lui a été décerné par le Conseil des Arts du Canada, soulignant ainsi son exploration de la notion du genre, du corps, de l’espace dans son art et dans ses écrits, ainsi que son soutien à la cause de la diversité.

Cette artiste engagée nous transporte dans l’univers enchanteur de son île natale, l’île Maurice, dans le cadre de sa première expo solo à la galerie McClure jusqu’au 25 mars 2023 et titrée Who Sings the Queer Body Islands. Tout un événement pour l’artiste et tout un déploiement d’oeuvres inspirées, qui vise à amener le public à jeter un regard libéré de l’époque du colonialisme et de ses traces encore actuelles.

Vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec l’artiste Kama La Mackerel diffusée sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3, qui nous présente d’abord la cause qui lui tient le plus à coeur, celle de la souveraineté des îles, son choix de recourir à une cartographie décoloniale du corps queer et toute sa signification, la méthode multidisciplinaire développée depuis 10 ans et l’impact souhaité. Enfin, l’artiste fait un petit survol de l’expo immersive présentée à la Galerie McClure, qui réunit des oeuvres textiles, des photographies, des images en mouvement, un univers sonore, de la poésie, des récits et performances.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

Expo de Kama La Mackerel titrée Who Sings The Island Body jusqu’au 25 mars 2023

À la Galerie McClure, 350 Avenue Victoria, Westmount.

ENTREVUE AVEC KAMA LA MACKEREL DIFFUSÉE :

DOUBLE EXPOSITION D’AMPLEUR, DE L’ARTISTE SARABETH TRIVINO

L’édition du Magazine radio In situ du 15 octobre 2022, a fait place à une entrevue avec l’artiste textile, Sarabeth Trivino, d’origine chilienne, dont la pratique innovatrice revêt une signification toute particulière, celle de maintenir un lien de filiation et de solidarité avec le peuple Mapuche, celui de sa mère, qui continue d’occuper une place importante dans la vie de cette artiste femme, immigrante et citoyenne , en quête identitaire.

L’entrevue a lieu à l’occasion d’une double exposition de l’artiste à grand déploiement à Oboro jusqu’au 15 octobre 2022 ( Mapu/Territoire sacré ) et à la salle de diffusion Parc-Extension de la Maison de la Culture Claude Léveillé( Arteria ) jusqu’au 30 octobre 2022, dans le cadre du Festival Latin Arte

Vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec Sarabeth Trivino diffusée sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3. L’artiste nous présente son approche textile et toute sa signification, ses deux expositions en cours au moment de l’entrevue, ainsi que son parcours artistique. Elle est actuellement inscrite au programme de maîtrise en beaux-arts en fibrfes et pratiques matérielles de l’Université Concordia, après avoir obtenu un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’UQAM.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

ENTREVUE AVEC SARABETH TRIVINO DIFFUSÉE SUR LES ONDES DE RADIO CENTRE-VILLE 102,3 :

jusqu’au 1e mai 2021au lieu de diffusion projet casa : une exposition empreinte de la vision de l’artiste multidisciplinaire rad hourani

Dans le cadre de l’édition du Magazine radio In situ du 24 avril 2021, qui faisait place à des recommandations d’expositions en galeries à visiter, le chroniqueur Pierre Archambault, nous présente l’exposition titrée Royaume du réputé créateur et artiste multidisciplinaire Rad Hourani , reconnu à l’international. Celui-ci invite le public à plonger dans son univers sans limite, au lieu de diffusion Projet Casa jusqu’au samedi 1e mai 2021

À travers cette exposition alliant art, film, danse et costume, Rad Hourani propose une réflexion sociale qui met de l’avant la neutralité, comme nouvelle vision universelle.

À voir sur place, différentes séries d’oeuvres : des drapeaux crées avec des tissus récupérés et nobles , desquels émergent une ferveur révolutionnaire, des portraits de grand format, des sculptures de textiles évocatrices, à la fois humaines et anonymes, nommés Robots, qui ont pour effet de renvoyer le spectateur à son humanité et de créer un contraste avec l’intelligence artificielle, perçue comme menaçante.

Ces différentes séries d’oeuvres prennent tout leur sens, en visionnant la performance vidéo, qui donne vie aux toges de la collection couture unisexe exposées. L’artiste use de la danse s’apparentant au rituel, de l’application de principes architecturaux et l’exploration du mouvement, pour créer un effet libérateur.

Pour en savoir plus sur l’exposition et le parcours du créateur, vous pouvez écouter plus bas le compte rendu diffusé à Radio Centre-ville 102,3

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

La galerie est située au 4351, Avenue de l’Esplanade, Montréal;

Accès sur RV Eventbrite.

Compte rendu du chroniqueur Pierre Archambault sur l’exposition Royaume de Rad Hourani :

JUSQU’AU 2 DÉCEMBRE 2018 À ARTICULE: UNE INSTALLATION IMMERSIVE QUI RECRÉE L’ESPACE RÉEL ET VIRTUEL!

Place en ouverture du Magazine radio In situ du 28 novembre 2018 à une exposition titrée Code : Corps, qui faisait partie de la programmation de la 13e édition du Festival HTMLLES, ayant eu lieu du 1e au 5 novembre 2018 et fruit d’une collaboration intense entre le Centre Articule et le Studio XX.

Cette installation immersive, voire hypnotisante et haute en couleurs éclatantes, fait vivre au corps différentes expériences dans des espaces recrées par le duo d’artistes d’origine colombienne : Laura Acosta et Santiago Tavera. Ces expériences sont celles du corps surveillé et contrôlé, contraint ou animé, qui peuvent être associés à la réalité vécue et hautement d’actualité de la migration et  à la situation actuelle du corps en multiples représentations, notamment dans les médias sociaux.

Ce duo d’artistes ont imaginé et exploré, dans le cadre de cette exposition spéciale, un autre épisode, le troisième de leur œuvre The novels of Elsguer(épisode 3)/Live Despecho. Cette exposition spéciale se terminera en grand par un finissage ce samedi 1e décembre qui sera accompagné d’une performance.

Pour en savoir plus, voir l’album qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée et traduite en français par Robert Locas. Le Centre Articule est situé au 262 Fairmount ouest.

UNE RECOMMANDATION DE IN SITU!

 

JUSQU’AU 24 JANVIER 2016: HOMMAGE VISUEL RENDU AU COMPOSITEUR JOHN REA!

La chronique du conseil/Les contes à rendre à Radio Centre-ville participe à l’hommage rendu à John Rea en faisant place à une entrevue spéciale. Chaque année, la Société de Musique Contemporaine du Québec inclut dans sa programmation un volet hommage à un compositeur d’exception. Et cette année, c’est John Rea, compositeur et pédagogue, qui est à l’honneur. Cet hommage s’accompagne d’une série de concerts et d’événement satellites, telle qu’une exposition multidisciplinaire rassembleuse de 22 artistes inspirés par l’oeuvre et la démarche du compositeur à la Maison de la Culture Côte-Des-Neiges, titrée John Rea/Musique vue jusqu’au 24 janvier 2016.  En tête, un duo de commissaires: Élisabeth Dupond et Julianna Joos (cette dernière, ayant été interviewée par Chantal L’Heureux, dans le cadre de l’émission ci-haut désignée).

John Rea aspire à rendre visible la musique qu’il compose et crée des univers foisonnants, semés d’illusions sonores, métaphores et jeux de miroir.  Ses sources d’inspiration sont multiples, puisant dans la littérature, la philosophie et les arts, telle que l’oeuvre de  Maurits Cornelis Escher (dessinateur, illustrateur, muraliste et concepteur de tapisserie) et celle du plasticien hongrois Victor  Vasarely.  Il s’intéresse aussi aux recherches scientifiques et aux mathématiques, allant jusqu’à user d’une géométrie structurelle dans sa musique. La thématique de la transformation est très présente dans son oeuvre musicale, qui vise à trouver un équilibre entre la raison et les émotions.

Les deux commissaires ont organisé une rencontre, afin d’engager une dialogue avec John Rea, qui a alors profité de cette occasion pour transmettre aux artistes non seulement ses sources d’inspiration, mais aussi la structure inhérente de ses oeuvres, sans que celle-ci enfreigne la liberté d’expression. Par la suite, les artistes ont crée leur oeuvre, qui s’accompagne d’un texte décrivant le  passage d’un langage musical à un langage visuel et leur expérience au plan de l’imaginaire.

Un événement recommandé par In situ. Et pour en savoir plus, voir la sélection d’oeuvres de In situ dans l’album photos qui suit et écouter en différé l’entrevue avec la co-commissaire Julianna Joos:

JUSQU’AU 22 NOVEMBRE 2015: UNE EXPO RÉTROSPECTIVE IMPRÉGNÉE DE NATURE!

Le Magazine radio In situ du lundi 16 novembre 2015 propose l’exposition rétrospective Habiter  de l’artiste de Québec  Luce Pelletier qui présente une sélection d’oeuvres réalisées durant les dix dernières années.  Un événement en cours à la Maison de la Culture Côte-Des-Neiges jusqu’au 22 novembre 2015. Une démarche artistique contemplative, voir méditative qui s’intéresse et célèbre les attraits de la nature, tant visibles que moins perceptibles, dans un rapport de proximité de l’homme avec la nature.  L’artiste, qui se définit comme engagée, inclut donc dans sa pratique une réflexion sur notre rapport à l’environnement.

Luce Pelletier est artiste sculpteur d’oeuvres durables et éphémères depuis 20 ans, en plus d’intégrer à sa pratique, la photographie, l’installation, l’art in situ, l’art public et la médiation, comme dans le cas de son oeuvre L’étreinte en plein coeur du quartier des spectacles présentée  par l’artiste à la radio.  Elle est enseignante dans le domaine du textile. Un médium qui inspire sa pratique au plus haut point, comme peut en témoigner le motif dentelles qu’on retrouve dans  ses oeuvres. Autre figure récurrente: les mains faites de feuille qui relie l’être humain à la nature. Des oeuvres fragiles  vouées à l’effritement et à disparaître, qui témoignent du temps qui passe.

Luce Pellerier établit un dialogue avec la nature à travers des matériaux fragiles le plus souvent glanés dans la nature, qu’elle transforme par la suite pour leur donner un sens. Puis, elle réintroduit ses oeuvres dans la nature. Occasionnellement, elle utilise du fil de pêche pour ses sculptures. L’artiste dit apprécier et se nourrir de son activité d’enseignante et de ses apprentissages.

L’exposition présente une sélection d’oeuvres de plusieurs séries:

-Habiter(2015)/nouvelles oeuvres inédites à Montréal;

-Les flâneurs/L’äme en mouvement(2015), figure de l’oiseau main, oeuvres crées à la Pointe-de-Rivière-du-Loup, thématique environnementale;

-Feuilles hosta glanées dans la cour de l’artiste et transformées en crâne(2015);

-Toucher l’instant(2011)/une autre rétrospective ayant eu lieu à Expression/oeuvres géranium;

-Des chemins qui mènent nulle part(2007), grands formats présentés à  la Fondation Derouin;

-Écorce et anatomie(2006)/événement passé Orange;

Vous pouvez réécouter l’entrevue avec l’artiste, accompagnée d’un album photos, en cliquant le lien suivant(avant le lundi 23 novembre 13h30): http://radiocentreville.com/wp/programmation/

Une forte recommandation du Magazine radio In situ!

JUSQU’AU 30-08-15: DES SCULPTEURS DE LA GALERIE ART MÛR EXPOSENT À LA GALERIE STEWART HALL!

L’ÉVÉNEMENT PESANT COMME UNE PLUME À LA GALERIE STEWART HALL EST  RECOMMANDÉ TANT PAR IN SITU, QUE DANS LE CADRE DE L’ÉMISSION ESPACE VISUEL DU 27 AOÛT 2015 À RADIO CENTRE-VILLE.

Quatre artistes sont réunis autour de l’objet qui est détourné de sa fonction courante et transformé en oeuvre remarquable et significative. Des oeuvres intégrant des contradictions qui suscitent un questionnement.

Le quatuor d’artistes inspirés est composé de Janick Deslauriers, Kristina Lahde, Carl Lane et Clint Neufeld.

Janick Deslauriers  a recours au tissu précieux qu’elle brode et aux fils pour créer des oeuvres de grand format suspendues, transparentes, légères, voir fantomatique, pour faire contrepoids à la gravité des thématiques.  Un ravissement pour les yeux!

Kristina Lahde crée des formes inédites avec un déploiement d’objets recyclés étonnant.

Cal Lane ajoute à la sculpture la soudure et a choisi de créer des motifs de dentelle sur des objets de métal utilisés au quotidien. Elle démontre une ambition certaine en ornementant des capots de voiture qui sont ses oeuvres de grand format les plus spectaculaires! Des oeuvres qui allient la légèreté et la féminité de la dentelle au matériau brut, lourd et masculin du métal.

Enfin Clint Neufel est inspiré par les moteurs de voiture, qu’il rend attrayant et propre, en les reproduisant exactement en porcelaine et orné de fleurs. À nouveau, des oeuvres intégrant des aspects féminins et masculins.

Une exposition incontournable à la Galerie Stewart Hall à Pointe-Claire et qui se poursuit jusqu’au 30 août. Une occasion de revoir certaines oeuvres déjà exposées, dans le  cas de Jannick Deslauriers à Art mûr, Circa et dans le cadre de la dernière Biennale de sculpture de Trois-Rivières.

 

 

ÉMISSION 13-08-15 ET JUSQU’AU 22-08-15: LE PAYSAGE-VÊTEMENT RÉVÉLATEUR!

Dans le cadre du Magazine radio In situ du jeudi 13 août 2015, entrevue en direct avec l’artiste textile Carole Baillargeon qui réside à Québec.  Une artiste qui s’intéresse aux notions de temps, de mémoire et à différents aspects de la société qui nous définit, mais par le biais du vêtement, à la fois matière et structure formelle, qui en a long à dire sur notre identité.  En fait, le vêtement devient prétexte pour parler de l’expérience humaine.

Carole Baillargeon oeuvre depuis 20 ans dans le textile, à travers des sculptures et des installations d’ampleur, ainsi qu’à travers une démarche multidisciplinaire. Elle privilégie un processus collectif de longue haleine.  Le dernier réalisé et s’inspirant des quatre saisons s’est étalée sur une quinzaine d’années. L’artiste présente à la Maison de la culture Frontenac jusqu’au 22 août des extraits de ce projet et  installation titrée Paysages-Vêtements.  Une autre partie de cette installation(saison été) sera présentée à Circa dans l’édifice Belgo à partir du 29 août 2015, date du vernissage. Elle exposera un grand nuage de pollen, qui peut être observée tant de l’intérieur de l’oeuvre que de l’extérieur.

Carole Baillargeon investit beaucoup de temps dans le scénario de réalisation de ses oeuvres. D’abord une phase de collecte  de matériaux différents selon les saisons: des jeans en automne, des bouchons de liège au printemps et des boutons en été.  Elle opte pour des contributions en temps de la part de son entourage durant l’hiver, un rappel des corvées d’antan.  Puis, suit la phase conception et réalisation en atelier.  Ensuite, l’artiste procède à une mise en mouvement des ses vêtements-paysages dans le cadre de performances. Par exemple, pour la saison de l’hiver, elle a fait appel à 24 choristes qui ont réalisé une performance sonore et vocale, selon un rythme qui évoquait l’hiver. Des vidéos documentent l’expérience. La dernière phase est celle de l’exposition, telle que présenté à la Maison de la culture. Une exposition immersive et qui propose un agréable parcours déambulatoire.

Carole Baillargeon a été boursière du CALQ et a reçu le  prix du Rayonnement international pour le région de Québec, décerné par le conseil de la culture en 2000. Elle participe depuis plusieurs années à des symposiums d’art textile surtout en Europe, où cet art est plus développé. En 2016, elle exposera au Musée d’art contemporain de Baie St-Paul, l’intégrale de son installation inspirée des saisons.

Pour en savoir plus, écouter en différé/télécharger le Magazine radio In situ du jeudi 13 août dernier(case horaire de 13h à 13h30, en remplacement de l’émission Portrait danse) à Radio Centre-ville, le tout avant avant jeudi 20 août 13h:
http://radiocentreville.com/wp/programmation/

ET À VENIR UNE AUTRE EXPOSITION DANS LE CAS DE CAROLE BAILLARGEON À CIRCA AU BELGO À PARTIR DU 29 AOÛT 2015.