LE MOIS DE L’HISTOIRE DES NOIRS, DANS LA LENTILLE DE DOMINIQUE CLAIRE MARIE !

Dans le cadre de la deuxième partie du Magazine radio In situ du 4 février 2023, consacrée à la 32e édition du Mois de l’Histoire des Noirs et à son volet arts visuels, une entrevue a été diffusée avec la photographe attitrée à l’événement de cette année : Dominique Claire-Marie.

Le Mois de l’Histoire des Noirs propose chaque année bien des activités dans la discipline des arts visuels, mais aussi toute une démarche de reconnaissance de la contribution des différentes communautés noires locales et des personnes clés issues de ces communautés.

Dans le cadre de ce spécial dédié au Mois de l’Histoire des Noirs, titré cette année De l’obscurité à la lumière, nous avons souhaité braquer les projecteurs sur une artiste, qui a contribué activement dans l’ombre à cette 32e édition de l’événement, en ayant réalisé les 12 photographies des lauréat(e)s, à découvrir dans le calendrier.

D’origine haïtienne et née à Montréal, Dominique Claire-Marie a été formée en photographie commerciale en 2010, en plus de détenir une expérience de travail en technologie architecturale, design et gestion de projets.

Vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée avec la photographe, sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3, la radio de la diversité. Dominique Claire-Marie nous informe principalement de son approche photographique, dans la discipline du portrait et de l’architecture, du processus de réalisation des portraits des lauréats, dans le cadre du Mois de l’Histoire des Noirs et de son parcours photographique jusqu’à présent, ainsi que de ses projets à venir.

Le Mois de l’Histoire des Noirs, en cours dans différents lieux, durant tout le mois de février 2023.

https://www.moishistoiredesnoirs.com/

https://www.dominiqueclairemarie.com/

Lancement média du Mois de l’Histoire des Noirs, ayant eu lieu le 25 janvier 2023.

Une des douze personnes finalistes photographiées par Dominique Claire-Marie, Carla Beauvais, choisie comme lauréate.

La photographe Dominique Claire-Maire, interviewée par le Magazine radio In situ.

ENTREVUE AVEC DOMINIQUE CLAIRE-MARIE TRANSMISE SUR LES ONDES DE RADIO CENTRE-VILLE 102,3 LE 4 FÉVRIER 2023 :

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ALBUM-SOUVENIR : UNE EXPOSITION RÉTROSPECTIVE SUR LA CONTRIBUTION MAJEURE DU COUPLE D’ÉMAILLEURS SUR CUIVRE DE PASSILLÉ-SYLVESTRE !

En programmation du Magazine radio In situ du 1e octobre 2022, une entrevue avec Bruno Andrus, historien de l’art, enseignant, artiste et commissaire de l’exposition rétrospective consacrée à la contribution majeure du couple d’artisans autodidactes De Passillé Sylvestre au développement des métiers d’art au Québec. Cette entrevue de fond a aussi été rediffusée partiellement le 31 décembre 2022, à l’approche de la fin de l’exposition, titrée De Passillé Sylvestre/Émailleurs d’art, au Musée des Métiers d’Art du Québec, jusqu’au 11 janvier 2023 .

Le duo De Passillé Sylvestre s’est démarqué par leurs expérimentations et leurs innovations, en émaillage sur cuivre, sur l’argent et sur l’or, mais aussi par leur exploration de différentes disciplines, telles que la mode, en particulier le bijou féminin, le design d’intérieur et l’architecture. Ils représentent encore maintenant un modèle d’entreprise en ayant pu allier des pratiques artisanales, artistiques et industrielles. Le couple a en fait personnifier les aspirations québécoises, à cette époque, d’entrer dans une phase de modernité.

Vous pouvez écouter plus bas une entrevue avec le commissaire Bruno Andrus, qui nous présente l’histoire de ce couple mythique, les différentes étapes de leur carrière, leur apport au milieu des métiers d’art, ainsi que l’exposition d’intérêt présentée, son processus de réalisation de longue haleine, avec la collaboration des étudiants de l’École du Louvre en 2019 et le catalogue . Une occasion de redécouvrir leur parcours de créateurs et d’entrepreneurs audacieux, tombé quelque peu dans l’oubli, après un long voyage en fin de carrière.

UNE FORTE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

Le MUMAQ est situé au 615 Avenue Sainte-Croix, Saint-Laurent.

Micheline De Passillé Sylvestre et Bruno Andrus photographiés lors du finissage.

Entrevue avec Bruno Andrus, commissaire de l’exposition de Passillé Sylvestre/Émailleurs d’art au MUMAQ jusqu’au 11 janvier 2023 et diffusée sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3 :

JUSQU’AU 15 DÉCEMBRE 2020 : LA NOUVELLE CHAÎNE MUSEUM TV EN DÉBROUILLAGE !

 

 

 

 

 

Dans le cadre du Magazine radio In  situ du 9 décembre 2020 et en ouverture d’émission, un retour par un trio de chroniqueurs (Sophie Pardo, Robert Locas et Chantal L’Heureux) sur la programmation de la nouvelle chaîne télé, dédiée entièrement aux arts visuels, MUSEUM TV, débrouillée sur le câble jusqu’au 15 décembre 2020.

Le mandat de cette chaîne transmis, à laquelle on peut s’abonner sur le câble est d’informer et d’explorer le milieu arts visuels et des disciplines connexes, par le biais d’une approche accessible et ludique, avec des émissions spéciales et régulières de différentes durées, de façon à séduire un large public.

On peut s’informer tant sur l’art classique, que sur l’art actuel et ses nouvelles tendances (dont le street art, l’art numérique, l’art vidéo), le processus d’organisation des événements, la contribution du personnel en soutien des artistes, en plus de proposer des cours de dessin pour tous, des techniques de dessin, ainsi que des capsules sur des artistes et des oeuvres et des bulletins de nouvelles (Art News) sous forme, d’une émission d’actualité sur le monde de l’art présentée par Alice Blanquin et diffusée chaque semaine sur MUSEUM TV.

Seule réserve face à cette nouveauté : cette chaîne vise une expansion internationale, alors que la très grande majorité des émissions ont été réalisées en France. Il faudra vérifier si MUSEUM TV souhaite s’implanter et  développer des nouveaux projets, dans les pays qui diffuseront sa programmation.

Pour en savoir plus sur ces différents aspects, vous pouvez écouter plus bas le retour du trio de chroniqueurs, diffusé à Radio Centre-Ville 102,3, en cliquant le lien qui suit.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

RETOUR DES CHRONIQUEURS SOPHIE PARDO, ROBERT LOCAS ET CHANTAL L’HEUREUX SUR LA NOUVELLE CHAÎNE MUSEUM TV :

ALBUM SOUVENIR/JUSQU’AU 19 JANVIER 2020 : EN VEDETTE AU CCA, GORDON MATTA CLARK !

L’édition du Magazine radio In  situ du 12 juin 2019 a fait place à la toute nouvelle exposition au Centre d’Architecture Canadien, présentée dans le cadre de l’événement annuel Sortis du cadre et consacrée au réputé Gordon Matta Clark, décédé prématurément à 35 ans, dont la pensée radicale dans le domaine de l’architecture est passée à l’histoire et qui a été l’objet de deux expositions majeures l’an dernier au Bronx Museum aux Etats-Unis et au Musée de Jeu de Paume à Paris. C’est dire que le besoin de revisiter l’œuvre de Gordon Matta-Clark est observé présentement.

Cette exposition propose de découvrir ou redécouvrir, en trois volets jusqu’au 17 mai 2020, l’œuvre de cet artiste conceptuel formé en architecture. Le commissaire Yann Châtaigné, aussi écrivain et professeur à la Haute école d’art et de design à Genève(HEAD) nous  a présenté le premier des trois volets et nous a donné un aperçu de l’exposition dans son ensemble (voir article du 6 septembre 2019).

Dans le cadre du deuxième volet qui a débuté au CCA le 26 septembre 2019 et titré Chantier et premiers montages : Gordon Matta-Clark revu par Hila Peleg, nous découvrons la production de films (terminés et inachevés), photographies, écrits et correspondance, sélectionnés dans la collection du CCA.

Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec madame Louise Désy, réalisée lors de la visite de presse relative au deuxième volet et diffusée à Radio Centre-Ville 102,3. Cet article est transmis à l’approche du troisième volet de cette exposition.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Entrevue avec madame Louise Désy du Centre Canadien d’Architecture :

 

À L’AFFICHE À PARTIR DU 20 DÉCEMBRE : UN FILM SUR LES TRACES DE L’ARCHITECTE LUC DURAND !

Place en ouverture du Magazine radio In situ du 18 décembre 2019, à une entrevue spéciale avec le cinéaste Étienne Desrosiers qui a réalisé, dans un passé encore récent, un film captivant  sur le flamboyant architecte Roger D’Astous.

Dans son nouveau film, Étienne Desrosiers  rend hommage à un autre réputé architecte, décédé au printemps dernier, le 24 mars 2019,  Luc Durand. Le cinéaste a suivi l’architecte qui a souhaité faire un retour aux sources, en Belgique et surtout en Inde, à Delhi, lieu où Luc Durand a débuté sa pratique et où l’apport de l’architecture a été déterminant, dans le développement urbain de la capitale indienne.

Un film titré Luc Durand/Leaving Delhi, qui fait une autre immersion réussie dans l’univers de l’architecte engagé Luc Durand, à la personnalité plus discrète, mais aux idéaux ambitieux, qui a contribué tant au développement de Delhi, qu’à celui de Montréal, en travaillant à construire des immeubles en hauteur et aux fonctions multiples dans l’est de Montréal, à une époque, où les investissements se faisaient surtout dans l’ouest de Montréal.

Le documentaire prendra l’affiche ce vendredi au cinéma du Musée, à partir du 20 décembre 2019 et proposera quatre projections spéciales en présence d’invités de marque :

-Le vendredi 20 décembre 2019 à 19h, en présence de  Dinu Bumbaru/Héritage Montréal, France Vanlaethem /Fondatrice du Centre de design de l’UQAM et Directrice de Docomomo, Francine Grimaldi/Journaliste et Étienne Desrosiers;

-Le samedi 21 décembre 2019 à 19h, en présence de Armand Vaillancourt et Étienne Desrosiers;

-Le vendredi 3 janvier 2019 à 16h, en présence de Lucie Morisset/Société pour l’étude de l’architecture au Canada  et Étienne Desrosiers;

-Le samedi 4 janvier 2019 à 14h, en présence de Luc Noppen/Historien d’architecture et fondateur de la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain et Étienne Desrosiers;

Pour en savoir plus, écoutez l’entrevue avec Étienne Desrosiers, diffusée à Radio Centre-Ville 102,3;

Étienne Desrosiers, photographié après son entrevue à Radio Centre-Ville 102,3.

 

 

 

JUSQU’AU 10 NOVEMBRE 2019 AU CENTRE DE DESIGN DE L’UQAM : RENCONTRE AVEC UN DUO D’ARCHITECTES HUMANISTES !

Le Magazine radio In situ du 30 octobre 2019 diffuse en ouverture d’émission, une entrevue de fond relative à l’exposition en cours au Centre de Design de l’UQAM, titrée Entre-Deux/Une Architecture de la Résonnance jusqu’au 10 novembre 2019.

Les architectes français Jacques Ferrier et Pauline Marchetti, une des deux commissaires (avec Philippe Lupien) de cette exposition spéciale, ont été rencontrés à  leur retour à Montréal, pour participer à une conférence, en lien avec l’exposition, qui a eu lieu le 30 octobre 2019.

Ce duo d’architectes nous transmet  tant leur vision globale et humaniste de l’architecture en milieu urbain, accompagnant leurs réalisations, que leur prise de position de placer l’humain et ses besoins, au coeur de leur processus, de là toute la signification du titre de l’exposition. Ils travaillent à ce que leur objectif de développement durable et d’intégration de nouvelles technologies, aillent de pair avec un bien-être et des plaisirs urbains.

Pour en savoir plus sur leur approche, leur réflexion et leur production au sein de Ferrier Marchetti Studio dans divers pays, vous pouvez écouter plus bas, l’entrevue transmise à Radio Centre-Ville 102,3.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

Le Centre de Design de l’UQAM est situé au 1440 rue Sanguinet à Montréal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JUSQU’AU 8 SEPTEMBRE 2019 AU CCA : UNE TRILOGIE D’EXPOSITIONS DÉDIÉE À L’ARTISTE-ARCHITECTE GORDON MATTA-CLARK !

L’édition du Magazine radio In  situ du 12 juin 2019 a fait place à la toute nouvelle exposition au Centre d’Architecture Canadien, présentée dans le cadre de l’événement annuel Sortis du cadre et consacrée au réputé Gordon Matta Clark, décédé prématurément à 35 ans, dont la pensée radicale dans le domaine de l’architecture est passée à l’histoire et qui a été l’objet de deux expositions majeures l’an dernier au Bronx Museum aux Etats-Unis et au Musée de Jeu de Paume à Paris. C’est dire que le besoin de revisiter l’œuvre de Gordon Matta-Clark est observé présentement.

Cette exposition propose de découvrir ou redécouvrir, en trois volets jusqu’au 17 mai 2020, l’œuvre de cet artiste conceptuel formé en architecture. Le commissaire Yann Châtaigné, aussi écrivain et professeur à la Haute école d’art et de design à Genève(HEAD) nous présente le premier des trois volets et nous donne un aperçu de l’exposition dans son ensemble.

Dans le cadre de ce premier volet, nous découvrons principalement la bibliothèque et les sources d’inspiration de Gordon Matta-Clark, dans des domaines aussi divers que l’architecture, la magie, la psychologie, l’anthropologie, l’écologie et la science des réseaux, accompagnée de documents photographiques, de dessins, croquis et ébauche de projets. Cette sélection du fonds d’archives Gordon Matta-Clark du CCA, faisant état des processus physiques, psychologiques et conceptuels qui ont orienté la pratique de l’artiste-architecte.

Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3. Cet article est transmis à l’approche du deuxième volet de cette exposition qui débutera au CCA le 26 septembre 2019 et titré Chantier et premiers montages : Gordon Matta-Clark revu par Hila Peleg.

 

 

 

 

 

 

 

 

JUSQU’AU 3 MARS 2019 AU DHC/ART : UNE EXPOSITION FASCINANTE, DU TEMPS DE L’EX-YOUGOSLAVIE, QUI PROPOSE UN CONCEPT D’ART TOTAL !

En programmation du Magazine radio In situ du 6 février 2019,  une entrevue du chroniqueur Pierre Archambault avec la commissaire vedette Cheryl Sim, au sujet de l’exposition immersive et somptueuse de l’artiste de Slovénie Jasmina Cibic, conçue spécialement pour le lieu de diffusion de la Fondation DHC/ART et explorant, entre autres, l’événement montréalais des plus  significatifs qu’a été l’expo 67; dernière exposition universelle à laquelle l’Ex-Yougoslavie a participé, avant sa dissolution en 1990.

Le projet de l’artiste jette un regard critique et féministe sur le phénomène de la construction de la culture nationale et sur son instrumentalisation à des fins politiques, dans le contexte des expositions universelles ayant eu lieu au 20e siècle.

À voir au DHC/ART, l’ambitieuse démarche de Cibic qui puise dans les archives, tout en ayant eu recours à la collaboration de spécialistes et qui se déploie selon le concept d’oeuvre d’art total, intégrant la sculpture, la photographie, le cinéma, la performance et l’installation à grande échelle, dont la présence sur quatre étage d’exposition d’un rideau orné des motifs des tapisserie et motifs, du temps du président yougoslave Tito. L’artiste use de plus des stratégies diverses de scénarisation, interprétation et de reconstitution.

L’exposition propose principalement une transformation du bâtiment situé au 451 de la rue St-Jean, en résidence occupée par un collectionneur anonyme, réunissant les artefacts imaginaires présentés dans les pavillons des quatre expositions universelles auxquelles l’Ex-Yougoslavie a participé. À visionner au quatrième étage,  un film inédit sur le sujet de la disparition d’un  État(nation). Le pavillon yougoslave d’Expo 67 est présenté comme un dispositif illusionniste. Enfin, la plus récente trilogie filmique de Cibic titrée Nada (qui signifie espoir en croate) est projetée au 465 rue de la rue St-Jean.

Pour en savoir plus et préparer la visite de l’exposition, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.

Photo de Pierre Archambault et Cheryl Sim lors de l’entrevue à Radio Centre-Ville.

Le rideau à motifs de tapisserie et tapis dans les salles de l’ancien palais de la Fédération à Belgrade.

Quatre personnages féminins représentante d’une responsabilité de l’état(bâtisseuse de la nation, pragmatique, protectrice de l’environnement, artiste-architecte), débitant des extraits de discours de politicien(ne)s connus.

Photo web

Des performances à voir la fin de semaine !

Le nouveau film de l’artiste State of illusion, réalisé spécialement pour l’exposition.

Au 465 rue St-Jean, personnification par Jasmina Cibic de Nada Kares-Richter, actrice et compagne de l’architecte moderniste Vjenceslav Richter.

Photo web Nada : Act II(extrait de production), 2017, vidéo HD.

L’artiste Jasmina Cibic photographiée devant la murale en fin d’exposition.

Photo web de l’artiste

Photo web de l’artiste lors de la visite de presse.

JUSQU’AU 15 DÉCEMBRE 2018 À OPTICA : LE REGARD D’UNE ARTISTE ANTHROPOLOGUE !

Dans le cadre du Magazine radio In situ du 5 décembre 2018, nous rencontrons l’artiste Virginie Laganière qui s’intéresse de longue date aux architectures en transformation. Jusqu’au 15 décembre 2018, elle présente une exposition immersive titrée Le Prisme au Centre d’Art Contemporain Optica, dans le Complexe de Gaspé, en plein quartier Mile-End de Montréal.

Cette nouvelle exposition s’avère être l’aboutissement d’une résidence réalisée au Studio de Québec à Rome  qui a porté sur l’évolution des colonies marines à travers l’histoire, incluant l’époque de Mussolini et à travers la situation actuelle, déterminée par le tourisme de masse. Il en résulte une exposition globale et fascinante, qui nous transporte dans l’univers  d’architectures monumentales et significatives, qui restent encore maintenant gravées dans l’imaginaire italien.

L’élément central de l’exposition, est l’oeuvre vidéo envoûtante qui met en scène les  architectures étudiées, en explorant leur texture matérielle et affective, dans le paysage idylliques de ces cités balnéaires. Cette oeuvre hypnotisante, acccompagnée de musique et d’une sélection de textes par l’artiste fort inspirée, est accompagnée de photographies, bas-reliefs, petites constructions et d’une légère brume odorante qui recrée le climat maritime des lieux visités par l’artiste.

Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec l’artiste diffusée à Radio Centre-Ville 102,3.

UNE FORTE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU!

Virginie Laganière et une vue d’ensemble de l’exposiition

Photographies accompagnant l’oeuvre vidéo centrale.

Images de l’oeuvre vidéo captivante

 

JUSQU’AU 9 DÉCEMBRE 2018 : UN NOUVEAU CONCEPT D’EXPOSITION PROPOSÉ AU PUBLIC !

En programmation du Magazine radio In situ du 21 novembre 2018, une entrevue spéciale avec la nouvelle directrice du Centre de design de l’UQAM, madame Louise Pelletier, en poste depuis juin 2018, relativement à l’exposition Entrer : en interférence, en cours jusqu’au 9 décembre 2018 et qui réunit cinq firmes d’architectures en Belgique et cinq firmes d’architectures du Québec.

Une exposition itinérante, plusieurs fois présentée en Europe et qui s’est enrichie d’une composante locale, à l’occasion de son escale à Montréal.  À voir sur place, dix projets réalisés par des firmes et des commanditaires engagés, qui ont à coeur de mettre l’architecture au service du citoyen et qui ont travaillé à reconvertir des bâtiments ou espace public  et ainsi à régénérer le milieu bât.

Cette sélection d’architectures a été effectuée par Audrey Contesse, commissaire du volet belge, aussi architecte, journaliste et historienne de l’art et de l’architecture, ainsi que par Georges Adamnczyk, commissaire du volet montréalais, aussi auteur, professeur et ex-directeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal et du Centre de design.

Audrey Contesse propose un parcours déambulatoire au public, qui se démarque des expositions d’architecture habituelles, grâce à la collaboration du photographe Maxime Delvaux et du concepteur sonore Christophe Rault.  À ces propositions artistiques, s’ajoutent une collection d’objets significatifs choisis par la commissaire sur chaque site et dans les bureaux d’architecture. Des grandes affiches des architectures sélectionnées sont même offertes au public.

Pour en savoir plus, voir l’album photos qui suit et vous pouvez écouter plus bas, l’entrevue diffusée à Radio Centre-ville.

UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !

Louise Pelletier, Directrice du Centre de design de l’UQAM, interviewée par le Magazine radio In situ.

Un des projets belges : M garden, le pavillon d’un collectionneur à Renaix, réalisé par la firme d’architectes VERS.A

Des objets glanés significatifs sont exposés.