En programmation du Magazine radio In situ du 24 février 2021 et pour souligner le mois de l’Histoire des Noirs, une entrevue avec Mushagalusa Chigoho, à la direction de L’Espace Mushagalusa, aussi fondateur de ce lieu de diffusion et lauréat de l’édition 2021 du Mois de l’Histoire des Noirs, à propos du projet d’Afromusée qui sera lancé en juillet prochain.
Un rêve de fonder un musée africain poursuivi par plusieurs depuis des décennies, dont notre invité Mushagalusa Chigoho, qui travaille à réaliser ce rêve, en procédant par étapes, avec l’aide d’un conseil d’administration hautement concerné, d’abord en créant un musée virtuel, qui aura tout de même pignon sur rue à Montréal, à l’Espace Mushagalusa.
L’entrevue avec Mushagalusa Chigoho nous informe sur la genèse de ce projet, la spécificité, la mission et le processus de concrétisation de ce musée. Il nous donne de plus les dernières nouvelles sur les projets stimulants qui font de l’Espace Mushagalusa un endroit incontournable pour découvrir, partager et échanger sur la culture africaine.
L’Espace Mushagalusa est localisé au : 533 Ontario Est, suite 100, Montréal(Québec), H2L 1N8, Canada, Tél.: 1(514)649.3898
Entrevue spéciale de In situ avec Mushagalusa Chigoho :
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Dans le cadre du Magazine radio In situ du 23 décembre 2020, Pierre Archambault, de l’équipe In situ, nous fait un compte rendu d’une exposition collective réunissant les oeuvres de quarante artistes à la Galerie Blouin-Division, d’où ce titre d’exposition, qui réfère aussi à la pandémie et la mesure sanitaire de quarantaine imposée à plusieurs.
Cette exposition planifiée en début de pandémie est l’aboutissement d’une consultation auprès de professionnels et d’amateurs d’art contemporain qui fréquentent le circuit des galeries montréalaises, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Ce travail de collaboration et cette élan de solidarité, témoigne de toute la vivacité de la création en période de pandémie qui a affecté particulièrement le secteur culturel.
Cette exposition propose des oeuvres d’artistes et galeries variées, de différentes époques, tout en introduisant une nouvelle section d’art numérique présentée par la galerie Ellephant.
Vous pouvez écouter plus bas le retour de Pierre Archambault sur cette manifestation artistique significative, diffusé à Radio Centre-Ville 102,3. Et voir quelques photos représentatives de la sélection d’oeuvres complètes de In situ, dont vous pourrez prendre connaissance sur la page Facebook de l’émission.
UNE RECOMMANDATION DE IN SITU !
Sabrina Ratté. Inscape, impression à encre pigmentée laminée et projection
Au fond, Yann Pocreau, Les calculs no 3, éd. 2/3, épreuve numérique sur Hahnemühle Rag 300 et en avant, Patrick Coutu, Attracteur, 2019, argent sur bronze
Luce Meunier, Accordéon no 8, 2013, acrylique sur toile de coton et de lin plié.
Caroline Monnet, Série Sublimation, 2020, broderie sur membrane d’étanchéité
Retour de Pierre Archambault sur l’exposition Quarante à la Galerie Blouin-Division :
Le mercredi 10 février, le magazine Radio In Situ a rencontré, le temps d’une entrevue par téléphone, le collectif montréalais Aussenwelt. Créé en décembre 2018, il rassemble une trentaine d’artistes émergents qui pratiquent des disciplines variées, de la peinture à l’installation en passant par la création mode et la musique.
Ce groupe, dont le nom signifie «monde extérieur» en allemand, cherche à être un tremplin pour ces artistes, en assurant la promotion des œuvres et l’organisation d’événements. Ces derniers peuvent prendre la forme d’expositions, de pop-up ou de résidences, dont une se tient en ce moment avec l’artiste Mephisto à Deneb sur la rue Duluth. Le groupe propose aussi des studios pour ses artistes, pour la création et la promotion de leur travail.
Vous pouvez retrouver ici notre entrevue avec Morgan Buchoux, le fondateur et directeur artistique d’Aussenwelt.
Deux adresses qui localisent ce collectif Aussenwelt à Montréal :
-Les studios des artistes du collectif : 4372 Papineau ;
-La deuxième résidence artistique du collectif (celle de Mephisto) a lieu dans un espace vitré, qui permet d’observer le travail de l’artiste, au 22 rue Duluth est.
Texte : Lila Maître
Une des oeuvres de l’artiste en résidence Mephisto (photo du collectif)
Un des événements organisés par le collectif en septembre 2020 : Expo Adventice/L’art à l’air libre au Parc Maisonneuve, à Montréal (photo Lila Maître)
Morgan Buchoux, représentant du collectif et interviewé par In situ (photo web)
Entrevue de Lila Maître, de l’équipe In situ avec Morgan Buchoux, le représentant du collectif :
-17h-18h : Magazine radio In situ dédié aux arts visuels, de même qu’aux disciplines connexes et animé par Chantal L’Heureux, sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3 (à la technique, Robert Locas), en programmation : une entrevue avec Nathalie Bachand, une des commissaires de la 13e édition du Festival Art souterrain qui débute ce samedi 20 février 18h et se poursuit jusqu’au 30 avril 2021. Et en deuxième partie d’émission, Lila Maître nous fait un compte rendu de l’expo collective titrée Terra Nova/Regard sur le présent et le futur et soulignant le 25e anniversaire de la Galerie Art Mûr.
Spécial photographie de rue, dans le cadre de l’édition du Magazine radio In situ du 3 février 2021, en compagnie du renommé Robert Walker, rencontré par Lila Maître de l’équipe In situ et de la photographe émergente Steffie Boucher.
L’émission propose une exploration de la rue, à travers la lentille d’un photographe d’expérience et celle d’une photographe émergente. Un espace encore relativement accessible, en période de pandémie, qui attire l’oeil artistique, de par ses caractéristiques actuelles, ses transformations, en ce temps de bouleversements majeurs de nos habitudes de vie.
Lila Maître a rencontré le réputé Robert Walker qui a osé, à ses débuts, réaliser des photographies en couleurs. Une pratique qui s’éloignait des critères artistiques à l’époque des années 70. Ses photographies se sont depuis démarquées, tant ici qu’à l’international. Il s’agit du premier photographe sélectionné, dans le cadre du nouveau programme Montréal en mutation crée par le Musée McCord pour témoigner de la transformations des quartiers montréalais.
Derniers jours pour voir une série d’oeuvres récentes, accompagnées d’une projection spéciale de photographies de Robert walker et d’images historiques, visant à documenter l’évolution du quartier Griffintown, un quartier ouvrier et industriel mythique, en grande transformation sous l’effet du phénomène de la gentrification. Une vingtaine de visuels de grand format réunis sous le titre Griffintown/Montréal en mutation, exposées au Musée McCord jusqu’au 14 février 2021.
Et bonne nouvelle, le musée réouvre ses portes ce jeudi 11 février 2021. D’ici cette réouverture, il est aussi possible d’avoir un bon aperçu de l’exposition sur le site web du Musée McCord.
Dans le cadre de cette entrevue spéciale accessible plus bas, Lila Maître échange avec le photographe sur son approche et ses techniques photographiques, sur l’exposition en cours au Musée McCord et sur ses nouveaux projets à venir, en période de pandémie. Un échange en anglais traduit par Lila Maître.
Le photographe Robert Walker photographié devant des oeuvres qu’il présente au Musée McCord jusqu’au 14 février 2021 (photo du Musée McCord)
En deuxième partie d’émission, une entrevue avec Steffie Boucher, faisant partie de la relève photographique, originaire de Guadeloupe et résidant au Québec depuis 3 ans. Elle a pris la décision d’émigrer, après avoir fait des études à Montréal. Cette jeune femme éprise d’évasions urbaines et de photographie de rue, s’avère être une artiste autodidacte fort inspirée, formée en génie informatique.
Elle a à son actif, une première exposition virtuelle à la Galerie Never Apart qui a eu lieu récemment du 15 octobre au 19 décembre 2020 et titrée Wanders City et Habitat. Deux séries de photographies invitant au rêve et stimulant l’imaginaire, à travers la composition, ainsi que la technique de la double exposition et de la multiple exposition, qui ont pour effet de recréer des lieux et révéler leurs multiples identités.
L’entrevue qui suit a permis d’échanger sur les sources d’inspiration de l’artiste, ainsi que sur son processus photographique numérique lors de ses promenades et de son travail en laboratoire. Elle nous présente aussi ses deux expositions à la Galerie Never Apart, encore accessibles virtuellement.
Le Magazine radio In situ du 27 janvier 2021 proposait un micro ouvert sur le sujet encore tabou, pourtant fort préoccupant et hautement d’actualité de la santé mentale, en cette période de pandémie et de distanciation sociale.
Au programme et en ouverture d’émission , un entretien de Lila Maître de l’équipe In situ avec l’art-thérapeute Alice Albertini, qui s’est donnée comme mission de procurer un mieux-être avec la discipline qu’elle applique en ligne, auprès d’une clientèle confinée.
L’entrevue nous informe sur le soutien offert dans les séances et sur certaines techniques utilisées par l’art-thérapeute, de même que les bienfaits constatés, notamment la diminution de l’anxiété générale des participants. Alice Albertini nous transmet de plus quelques conseils et opinions.
Coordonnées :
flowcreatif.com
info@flowcreatif.com
Alors que certains font appel au service d’art thérapie pour surmonter des périodes difficiles à vivre moralement ou des problèmes de santé mentale; d’autres ont recours à des projets qui visent à soutenir les personnes vulnérables et la communauté artistique, particulièrement affectée, en période de pandémie et de mesures sanitaires contraignantes.
C’est le cas de Gabriel Julien, un aidant naturel qui a surmonté un problème passé de santé mentale et fondateur de l’organisme à but non-lucratif Coups de pinceaux Coups de ciseaux, ayant pour mission à la fois d’offrir l’art et des coupes de cheveux aux jeunes de 18 à 35 ans fréquentant la clinique JAP, où est dispensé un traitement précoce et intensif pour jeunes adultes ayant eu un épisode psychotique.
Gabriel Julien nous présente ce nouveau lieu de diffusion Coups de pinceaux Coups de ciseaux localisé dans le Plateau Mont-Royal, ouvert depuis quatre mois et attenant à un salon de coiffure, qui est situé au 4603 boulevard Saint-Laurent, qui héberge actuellement une exposition collective bénéfice rassembleuse en ligne ayant débuté le 15 janvier dernier et qui se poursuivra jusqu’au 15 mars 2021.
Deux entrevues sont diffusées, avec le fondateur Gabriel Julien et avec Virginie Maltais, une des participantes de l’exposition collective bénéfice, qui s’est impliquée très activement dans l’organisation de l’événement 100 artistes pour une santé mentale sans tabous.
Gabriel Julien, invité du Magazine radio In situ et organisateur de l’événement-bénéfice 100 artistes pour une santé mentale sans tabou, en cours jusqu’au 15 mars 2021.
Virginie Maltais, interviewée au Magazine radio In situ et ayant aidé à l’organisation de l’événement-bénéfice 100 artistes pour une santé mentale sans tabou, en cours jusqu’au 15 mars 2021.
Une des oeuvres encore à vendre titrée La roulotte fleurie, photographie peinture corporelle , peinture, tissu Artiste – Amelie Stanislawia
En programmation du Magazine radio In situ du 20 janvier 2021, une entrevue de Lila Maître avec l’artiste Cassandre Boucher, qui présente Le temps mène à la galerie AVE (Arts Visuels Émergents). Cette exposition, installée dans les locaux de la galerie Archive, est disponible en ligne jusqu’au 10 février sur le site d’AVE.
Le temps mène rassemble des œuvres qui mêlent photographies d’archives, sérigraphie sur textile et gravures. Cassandre Boucher a d’abord récolté des images de la campagne québécoise de l’époque, provenant de sa famille, du musée des archives de la Gaspésie ou encore de différents albums photos.
Elle a ensuite imprimé, à l’aide de la sérigraphie, ces photographies sur des tissus transparents, comme de la dentelle, ou des tissages qu’elle a elle-même fabriqués pendant le confinement. Elle a également transposé les images sur des gravures auxquelles l’artiste a ajouté des coups de pinceau.
Le travail des arts imprimés permet à Cassandre Boucher de poser une réflexion sur ces images du passé. Les trous des tissus transparents utilisés font disparaître les photographies, tout comme les souvenirs s’effacent avec le temps. Les œuvres sont colorées, et nous posent la question sur la limite entre une image photographique et picturale.
Pour en savoir plus, voir l’album photo qui suit, l’exposition en ligne sur le site de la Galerie AVE, ainsi que l’entrevue plus bas diffusée sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3
: L’artiste Cassandre Boucher, photographiée devant son oeuvre en vitrine de la Galerie Archives, à Pointe St-Charles;
L’artiste Cassandre Boucher et une des oeuvres de son exposition Le temps mène à l’entrée de la galerie Archive Art Contemporain et visible de la fenêtre qui donne sur la rue Centre.
ENTREVUE DE LILA MAÎTRE AVEC L’ARTISTE CASSANDRE BOUCHER
FUSION TEMPORAIRE DES GALERIES AVE ET ARCHIVE ART CONTEMPORAIN :
L’assistant-galeriste Benoît Solbes nous renseigne sur cette nouvelle étape de la galerie AVE qui quitte son local de la rue Lenoir, pour s’installer temporairement dans les lieux de la Galerie Archive Art Contemporain à Pointe Saint-Charles. Une solution envisagée par deux galeries pour faire face au ralentissement économique en période de pandémie et au problème de hausse des loyers excessive dans certains secteurs. L’occasion se présentait aussi pour discuter de la situation actuelle des galeristes. Vous pouvez écouter plus bas cet échange transmis sur les ondes de Radio Centre-Ville 102,3.
Benoît Solbes, assistant-galeriste rencontré par In situ(en avant), Lila Maître de l’équipe In situ et l’artiste Cassandre Boucher(au fond), photographiés dans l’installation centrale de l’expo en ligne Le temps mène à la Galerie Archive Art Contemporain jusqu’au 10 février 2021.
ENTRETIEN DE CHANTAL L’HEUREUX AVEC BENOÎT SOLBES :
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !
La galerie AVE est installée temporairement dans le lieu de diffusion de la galerie Archive Art Contemporain, localisée au 2471 rue Centre, dans le quartier Pointe St-Charles à Montréal (près du Métro Charlevoix).
L’édition du Magazine radio In situ du 13 janvier 2021 a fait place à une entrevue spéciale avec Tanya Lapointe, ex-journaliste culturelle à Radio-Canada et conjointe du réputé cinéaste québécois Denis Villeneuve, établi à Los Angeles . Aujourd’hui, Tanya Lapointe est réalisatrice et productrice d’un premier long métrage documentaire consacré au sculpteur de papier Claude Lafortune, décédé en le 19 avril dernier de la covid-19. Un film primé, lancé récemment dans le cadre de la 20e édition du Festival de films de Whistler, en Colombie-Britannique.
Claude Lafortune a été formé en enseignement des arts plastiques et a fait ses débuts comme décorateur et costumier à Radio-Canada, avant de devenir animateur vedette d’émissions jeunesses phares à Radio-Canada de 1974 à 2000, les plus connues étant L’Évangile en papier et Parcelle de soleil, alors qu’il a donné la parole pendant des années à nombre d’enfants représentatifs de la diversité ( des enfants atteints de maladie grave, présentant des handicaps ou issus de différentes communautés ethniques).
Dans le cadre de cette entrevue, Tanya Lapointe nous informe de la genèse de ce film émouvant et des défis qu’elle a dû relever, ainsi que des projets qu’elle prévoit réaliser avec le film. Elle tient à nous faire part de la grande contribution humaine et artistique de Claude Lafortune, encore très actif, peu avant son décès et de son combat, afin d’obtenir une reconnaissance, quoique bien tardive, de sa pratique artistique visuelle. Elle témoigne de sa grande relation d’amitié qui s’est établie avec l’artiste et de toute l’attention donnée aux oeuvres de papier de Claude Lafortune et à son processus créatif, dans ce film empreint de chaleur humaine et qui continue d’émerveiller les petits et grands enfants de tous âges.
Pour en savoir plus, vous pouvez écouter plus bas l’entrevue avec Tanya Lapointe suivie d’un commentaire sur le film de Robert Locas.
Une forte recommandation de In situ !
La documentaire fait actuellement partie de la programmation en ligne des cinémas Du Parc, Beaubien et du Musée.
Une scène du film, réunissant Claude Laforturne, une de ses sculptures en papier présentée par l’artiste visuel et la cinéaste Tanya Lapointe ( photo : web, Le Devoir ).
En programmation du Magazine radio In situ du 1e juillet 2020 et en rediffusion le 30 décembre 2020, une entrevue avec Mary-Dailey Desmarais, qui nous présente l’exposition intitulée Paris au temps du postimpressionnisme/Signac et les Indépendants, à titre de co-commissaire (avec monsieur Gilles Genty ) de cette première au Canada, prévue au départ jusqu’au 15 novembre 2020.
Une exposition en cours au Musée des Beaux-Arts de Montréal qui réunit plus de 500 peintures et oeuvres graphiques de Signac et des avant-gardes, issues d’une collection privée d’exception. Ce groupe d’artistes dirigé par Signac a été à l’origine du réputé Salon des Indépendants, alors représentatif de grands courants artistiques qui émergeaient, en réponse au contexte socioculturel et politique à Paris et en pleine ébullition de la Belle Époque. Au coeur de cette exposition, une quête d’harmonie à travers un procédé chromatique et une dynamique sociale, qui allaient de pair et qui s’observent dans 80 oeuvres signées Signac, présentées au MBAM.
La réouverture des musées, après la première vague de la pandémie et la période de confinement, a permis d’apprécier cette exposition d’envergure durant quelques temps, mais les musées ont du refermer leurs portes dès le 1e octobre 2020. Une situation qui a fait crier à l’injustice les musées, pourtant très soucieux du respect des mesures sanitaires. Étant donné la grande déception du public, le MBAM a maintenu sa tradition d’offrir son musée en cadeau aux fêtes, en optant pour des visites virtuelles gratuites des expositions phares, dont Paris au temps du postimpressionnisme, jusqu’au 11 janvier 2021 et prolongées jusqu’au 24 janvier 2021.
À noter que, cette entrevue a été diffusée cinq jours avant l’annonce de la nomination de Mary-Dailey Desmarais, comme directrice de la conservation au MBAM, qui a provoqué à la mi-juillet le congédiement très controversé de madame Nathalie Bondil, à la direction du MBAM durant 13 ans, laquelle a annoncé une poursuite de deux millions de dollars du MBAM à la mi-septembre. Toute une série de rebondissements ont été rapportés dans les médias durant l’été 2020.
Mary-Dailey Desmarais, co-commissaire de l’exposition en cours au MBAM, titrée Paris au temps du post-impressionnisme et directrice de la conservation, interviewée par In situ, lors de la visite de presse et photographiée devant une huile sur toile de Maximilien Luce(1858-1941) titrée L’Aciérie et réalisée en 1899.
En programmation du Magazine radio In situ du 16 décembre 2020, une entrevue avec deux artistes joaillières éprises de nature, fascinées par le rapport de l’humain au paysage, inspirées de plus par le bijou et tout son potentiel artistique. Elles souhaitent notamment soulever un questionnement d’ordre environnemental ou social, sur la transformation du paysage par l’intervention humaine.
Catherine Granche, formée en scénographie et en horticulture, avant de découvrir l’univers du bijou à l’École de joaillerie de Montréal en 2011, se concentre particulièrement sur la relation à la nourriture, en tant qu’élément culturel ou enjeu social; alors que Marie-Ève Castonguay, formée en arts visuels et diplômée de l’École de joaillerie du Québec, en plus d’avoir obtenu un baccalauréat en joaillerie de l’Université NSCAD, explore le thème de l’intimité, à travers la relation de l’humain(e) au jardin, créant des jardins à porter, qui procure du réconfort ou qui invite à l’évasion.
Ces deux artistes ont été invitées ensemble, car elles ont travaillé récemment en duo, dans le cadre d’un rare commissariat, dans le domaine du bijou et relatif à la thématique de la nature qu’elles ont en commun. L’exposition collective de huit artistes de différents endroits au Canada et d’approche diversifiée, a fait une dernière escale à Montréal, à la Galerie Guyomarc’h, après avoir été présentée à Toronto, en janvier dernier, dans le cadre du Festival Design TO, puis à la Galerie Lewis à Québec. Cette exposition s’accompagnait d’un catalogue toujours accessible actuellement. Tels des talismans, il émanait de ces bijoux présentés dans cette exposition itinérante intitulée Paysage de l’intime, une résonance poétique et énigmatique, qui établissait une correspondance avec l’expérience personnelle du paysage.
Catherine Granche et Marie-Ève Castonguay font aussi partie de la 25e exposition collective des artistes de la Galerie Guyomarc’h, organisée à l’occasion des fêtes et présentée jusqu’au 28 janvier 2021
Pour en savoir plus, voir l’album photos et vous pouvez écouter l’entrevue avec les deux artistes joaillières, diffusée à Radio Centre-Ville 102,3, qui concerne le bijou contemporain comme médium ou support, l’expérience du bijou, à travers le parcours respectif des deux artistes; leurs sources d’inspiration découlant principalement de la nature, l’exposition récente Paysage de l’intime, la dure réalité des artistes joaillières qui veulent organiser une exposition spéciale et leur participation à la 25e exposition collective des artistes de la Galerie Guyomarc’h.
UNE RECOMMANDATION DU MAGAZINE RADIO IN SITU !
La galerie Noel Guyomarc’h est située au 4836 boul. Saint-Laurent et est ouverte cette semaine jusqu’au 24 décembre 2020. Il faudra vérifier si la galerie ouvre ses portes dès le 11 janvier, selon les directives gouvernementales.
Un des bijoux de Catherine Granche, en porcelaine, commenté à la radio etprésentés dans le cadre de la 25e exposition des artistes de la Galerie Noel Guyomarc’h , à l’occasion des fêtes.
Un des bijoux de Marie-Ève Castonguay qui fait partie de l’exposition annuelle des artistes de la galerie Noel Guyomarc’h.
Un des bijoux de l’exposition collective Paysage de l’intime, commissariée par Catherine Granche et Marie-Ève Castonguay, qui a eu lieu récemment à la Galerie Noel Guyomarc’h.
Une autre oeuvre représentative de l’expo collective Paysage de l’intime.l
Les commissaires Marie-Ève Castonguay et Catherine Granche de l’expo collective désignée, s’étant terminée le 28 novembre dernier et interviewées le 16 décembre 2020 par In situ.